Avant 1914, des botteresses liégeoises transportent du charbon, extrait dans les mines du Pays de Liège, vers Jodoigne. Elles ont le dos courbé et fléchissent sous le poids de leur lourde hotte.
Leur trajet régulier par par Waremme, la Haute-Wegge, passant par « Le Pré Cocher », rue de Waremme, le Crucifix, les Trois-Chênes, Boëlhe, Hannut et enfin Jodoigne.
Au retour, elles ramènent des produits frais de la campagne:
Le (?), DE CRISNEE Guillaume épouse DE HANNUT Marie, dite « Delle Porte ». Il est le fils du chevalier DE CRISNEE Eustache. Elle est la fille de DE HANNUT Guillaume, voué de Jodoigne.
Le 9 février 1377, DE CRENEWICK Rassekin fait relief de Crenewick (suite au décès de son père ?). Il est toujours mineur. Ses parents sont DE CRENEWICK Arnold et DE JODOIGNE Marie.
En 1395, DE JODOIGNE Marie est veuve de DE CRENEWICK Arnold.
Le 13 mai 1915, CONARD Antoine-Louis voit le jour à Jodoigne. Il sera colporteur à Waremme.
Début mars 1853, l’imprimeur et relieur, MOUREAU Albert-Joseph-Auguste, de Jodoigne, ouvre un atelier de typographie à Waremme.
Le 26 juillet 1993, constitution à Jodoigne de la S.A. « Brico Saint-Eloi », entreprise de bricolage, dont le siège est situé au n° 62 de la rue Saint-Eloi à Waremme.
Le 10 mars 2011, la SPRL « Immocube », société immobilière, transfère son siège social de Jodoigne au n° 134 de la rue Joseph Piette à Lantremange. Le gérant de la société est MATHY Laurent.
Le 19 septembre 2012, Maître DESAN, de Nivelles, curateur désigné par le Tribunal de commerce de Nivelles pour gérer la faillite de la société de titres-services « Mademoiselle Nickel », annonce que quatre candidats à la reprise de la société se sont manifestés:
jacques chabot
Dans la nuit du 1er au 2 avril 2004, le bourgmestre de Waremme, CHABOT Jacques, est arrêté au volant de sa voiture, dans les environs de Jodoigne, après avoir roulé à contresens sur une route nationale avec berne centrale. L’éthylotest est positif, mais aucun P.V. n’est rédigé au moment de l’infraction. Il aurait déclaré aux policiers : « Je n’ai jamais rencontré de policiers avec si peu de compréhension. A Waremme, cela ne se passerait pas comme ça ! »