Vers 1917, ROUA Joseph, dit « Djè Libon », fait partie du Comité de Secours et d’Alimentation de Waremme. Il participe à la distribution de repas dans les écoles de la ville.
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Clara Masset, extraite des décombres (Waremme)
Le 28 août 1944, lors de l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, rue Gustave Renier à Waremme, WUIPIEDS Emile, dit « Le Poilu », n’est pas chez lui. Il est à Bettincourt. Par contre, sa femme, MASSET Clara, a trouvé refuge dans la cave voisine des RENIER.
Après l’explosion, ses frères MASSET Marcel et MASSET Jules, ROUA Joseph, VANOPPEN Lucien et DEBROUX Georges s’activent pour la sortir des décombres.
Elle est conduite sur une civière à la clinique Joseph Wauters. Les brancardiers doivent se relayer plusieurs fois, en raison de son obésité.
Joseph Roua, menuisier (Waremme)
En 1944, ROUA Joseph, dit « Djèd Libon », est menuisier à Waremme. Son atelier est situé dans un petit passage que l’on emprunte à l’entrée de la rue Gustave Renier.
Il est aussi pompier volontaire dans la brigade de la ville.
A ces moments perdus, il est également « guérisseur ».
Les pompiers de Waremme
En 1944, la brigade des pompiers de Waremme est composée de :
- WEBER Jean-Baptiste, dit « Fieu », commandant
- DELLEUZE Hubert, adjoint du commandant
- BOTTIN Guillaume
- VANOPPEN Lucien
- DELVENNE Camille
- TINLOT Alphonse
- ROUA Armand
- CLAES Albert
- PERMENTIER Alfred
- ROUA Joseph
- PARATE Joseph
Les pompiers de Waremme
En mai 1940, la brigade des pompiers de Waremme.
WEBER Jean-Baptiste est le commandant des pompiers de Waremme.
Ses hommes sont tous volontaires :
- DELLEUZE Hubert (son adjoint, marchand de la rue Joseph Wauters)
- ROUA Joseph, dit « Djède Libon » (menuisier et guérisseur à ses heures)
- PARATE Joseph (opérateur du cinéma « Les Variétés »)
- VANOPPEN Lucien (garagiste de la rue Sous-le-Château)
- CLAES Albert (boucher)
- TINLOT Alphonse (cordonnier et marchand de chaussures de la rue Hubert Stiernet)
- BOTTIN Guillaume (concierge de l’Hôtel de Ville). C’est ce dernier qui est chargé de faire tinter le clocheton en cas de sinistre, pour alerter les autres pompiers.
La brigade est équipée d’un matériel vétuste, mais qui a fait ses preuves en maintes occasions. La grande échelle mobile et la pompe à bras sont les ustensiles les plus couramment utilisés.