arthur wauters
En 1929, suite au décès de son frère, WAUTERS Joseph, le Waremmien, WAUTERS Arthur, reprend la direction du journal « Le Peuple ». Il en assurera la direction politique jusqu’en 1937.
Il lui succède également comme député de l’Arrondissement de Huy-Waremme. Il le restera jusqu’en 1932.
joseph wauters
Le 4 juillet 1929, les funérailles de WAUTERS Joseph sont organisées à Waremme. Il faut ouvrir les portes de la Maison du Peuple, dès cinq heures du matin, afin que les ouvriers partant au travail puissent saluer le corps. Le défilé dure toute la journée. Six camions sont nécessaires pour transporter toutes les fleurs.
Le 29 juin 1929, après une longue maladie, WAUTERS Joseph décède à Uccle.
En 1927, des festivités sont organisées à l’Ecole Moyenne de Waremme de l’Etat (qui deviendra Athénée Royal) à l’occasion du 75ème anniversaire de l’école et de la nomination de STIERNET Hubert, ancien élève de l’établissement, en qualité de membre de l’Académie Royale de langue et de littérature française. La cérémonie est présidée par WAUTERS Joseph, également ancien élève de l’école, Ministre de l’Industrie, du Travail et de la Prévoyance Sociale.
Le 30 septembre 1927, lors d’une manifestation solennelle, à laquelle participent notamment KRAINS Hubert, WAUTERS Joseph et WAUTERS Arthur, une stèle est placée sur la maison natale de STIERNET Hubert. Elle a été réalisée par le sculpteur DUPONT Louis, né à Waremme en 1896.
En 1926, le Waremmien WAUTERS Joseph effectue un voyage au Brésil.
En 1925, WAUTERS Joseph est nommé Ministre du Travail et de la Prévoyance Sociale. Il occupera cette fonction jusqu’en 1927.
En 1923, le Waremmien WAUTERS Joseph effectue un voyage au Congo belge pour un voyage de 3 mois. Il envoie régulièrement au journal « Le Peuple » des comptes-rendus, des études et des récits, qui seront ensuite réunis en brochure.
Le 14 juin 1921, WAUTERS Joseph fait voter la loi des huit heures de travail journalier et la semaine des 48 heures. Les pêcheurs, les agriculteurs, les entreprises familiales et celles qui pratiquent le travail ininterrompu échappent à la loi.
Cette réforme place la Belgique dans le peloton de tête des pays les plus avancés en matière de législation sociale.
En 1920, WAUTERS Joseph et le Ministre catholique DELACROIX déposent un projet de loi accordant la liberté d’affiliation syndicale dans les entreprises.