En 1992, la capacité de la Raffinerie « Notre-Dame » d’Oreye est de 5.500 tonnes de betteraves par jour.
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Production de sucres raffinés (Oreye)
En 1981, dans le cadre du plan de spécialisation de la Raffinerie Tirlemontoise, la Raffinerie « Notre-Dame » d’Oreye abandonne la production et le conditionnement des sucres ménagers, pour se consacrer principalement à la fabrication de sucres raffinés pour l’industrie et l’artisanat. Sa capacité est de 5.000 tonnes de betteraves par jour.
Elle doit alors sa renommée, en grande partie, à sa spécialité: le Sucre Perle, qui fait le bonheur des boulangers-pâtissiers, ainsi que des amateurs de gaufres, craquelins, brioches et autres gourmandises.
La ration de pommes de terre (Crisnée)
En mars 1916, la ration de pommes de terre à recevoir pour chaque ménage est de 300 grammes par jour et par personne, à Crisnée. Le prix des tubercules sera affiché au magasin.
Salaire des ouvriers (Hollogne-sur-Geer)
En 1842, les ouvriers agricoles de la région de Hollogne-sur-Geer perçoivent 52 centimes par jour.
La Sucrerie d’Oreye
En 1913, la Sucrerie Notre-Dame d’Oreye peut traiter 500 tonnes de betteraves par jour.
Le salaire du journalier (Hesbaye)
En 1880, en Hesbaye, un journalier gagne de 2 à 2,50 francs par jour, en été. En hiver, il gagne de 1,40 à 1,60 francs.
Fondation de la Sucrerie d’Oreye
Le 15 juin 1889, les quatre frères CARTUYVELS, de Waleffes, fondent la S.A. « Sucrerie et Raffinerie d’Oreye »:
- CARTUYVELS Alfred
- CARTUYVELS Hyacinthe
- CARTUYVELS Oscar
- CARTUYVELS Zénon
Elle transformera en sucre brut, 300 tonnes de betteraves par jour.