La Gazette de Waremme

En 1912, « La Gazette de Waremme », fondée par WAUTERS Joseph, est tirée à 2.700 exemplaires.

L’imprimerie Fraipont-Renard (Waremme)

En 1911, l’imprimerie « AD. FRAIPONT – RENARD » est installée au n° 18 de la rue de Huy (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters). Elle publie l’hebdomadaire « Le Journal de Waremme ».

Joseph Wauters, directeur (Waremme)

En 1910, WAUTERS Joseph est nommé directeur du journal « Le Peuple ». Il succède à DE BROUCKERE. Il occupera cette fonction jusqu’en 1929. Il abandonne définitivement l’enseignement.

Joseph Wauters fonde « La Gazette de Waremme »

En 1909, WAUTERS Joseph fonde l’hebdomadaire « La Gazette de Waremme ». C’est un journal de quatre pages, qui paraît le dimanche. Son tirage initial est de 1.300 exemplaires. Le prix de l’abonnement est de 2,5 francs par an.

Il se fait l’écho de tout ce qui concerne la vie agricole et ouvrière:

  • procédés d’élevage et de culture;
  • nouvelles sociétés coopératives et mutualistes;
  • lois agraires et questions sucrières;
  • affaires scolaire et militaire;
  • revendication du suffrage universel;

Joseph Wauters à « La Wallonie Socialiste » (Waremme)

En 1903, WAUTERS Joseph collabore à l’administration et à la rédaction du quotidien liégeois « La Wallonie Socialiste ».

Joseph Wauters au journal « Le Peuple » (Waremme)

Dès 1900, WAUTERS Joseph travaille au journal socialiste « Le Peuple ».

Zola écrit l’article « J’Accuse » (France)

émile zoma, j'accuse

Le 13 janvier 1898, ZOLA Emile publie sa lettre ouverte au Président de la République « J’Accuse », dans le journal « L’Aurore » en faveur de la réhabilitation de DREYFUS Alfred, condamné pour espionnage.

emile zola

emile zola

Revendications médicales (Waremme)

Le 20 octobre 1853, dans le journal « Le Scalpel », organe des professionnels de la médecine, de la pharmacie et de l’art vétérinaire, les médecins de l’arrondissement de Waremme émettent le vœu que le nombre d’officines pharmaceutiques soit limité et que leur siège soit fixé par la députation permanente, sur avis du conseil médical provincial. Ils demandent également que le projet de loi sur le service médical des pauvres accorde à l’indigent la liberté de choisir le médecin qui a sa confiance.