En 1856, VRANCKEN Louis est journalier. Son épouse, VRANCKEN Marie est propriétaire d’une maison avec bâtiment et cour dans ce qui s’appellera la rue Cochoul (et plus tard rue Hubert Krains) à Waremme.
En 1856, VRANCKEN Gilles est journalier. Son épouse, LEGROS Anne-Marie, est propriétaire d’une maison rue des Remparts à Waremme.
Le 20 octobre 1790, VRANCKEN Pierre-François voit le jour à Berloz. Ses parents sont VRANCKEN Pierre et BARBARON Marie-Joseph. Il sera journalier. Il servira dans les armées napoléoniennes.
Le 28 janvier 1792, VRANCKEN Charles-Lambert voit le jour à Berloz. Ses parents sont VRANCKEN Hubert et SAUVENIERE Marie-Catherine. Il sera journalier. Il servira dans les armées napoléoniennes.
Le 5 mars 1812, VRANCKEN Charles-Lambert, journalier à Berloz, conscrit sous le n° de tirage au sort 16, est incorporé comme fusilier au 76ème Régiment d’Infanterie de Ligne. Son n° de matricule est le 7303. Il sera fait prisonnier l’année suivante.
Le 8 mars 1809, VRANCKEN Pierre-François, journalier à Berloz, conscrit sous le n° de tirage au sort 25, est incorporé comme fusilier au 4ème bataille, 3ème compagnie, du 18ème Régiment d’Infanterie de Ligne. Son n° de matricule est le 6561. Il mourra en service.
Le 10 août 1784, VRANCKEN Noël voit le jour à Waremme. Il sera journalier. Il servira dans les armées napoléoniennes.
Le 8 Thermidor de l’An XIII (27 juillet 1805), VRANCKEN Noël, journalier de Waremme, conscrit sous le n° de tirage au sort 14, est incorporé comme caporal à la 24ème compagnie du 26ème Régiment d’Infanterie de Ligne. Son n° de matricule est le 2566. Il mourra en service.