La MR Barber Academy (Waremme)

En octobre (?) 2024, QUAGLIA Tristan, âgé de 37 ans, et sa compagne BETBEZE Sarah, lancent la « MR Barber Academy », une formation en coiffure, de 2 ou 3 jours, qui vient en complément de l’enseignement traditionnel, destinée à augmenter le niveau des jeunes coiffeurs.

QUAGLIA Tristan, publicitaire de formation, qui a décroché l’accès à la profession de coiffeur au jury central, est à la tête du salon de coiffure « Mr Barber 1987 » à Waremme, et de 2 autres salon franchisé à Huy et à Liège.

La friterie Chez Nous (Lamine – Momalle – Hodeige – Crisnée)

En décembre 2013, la friterie « Chez Nous » est exploitée par LAMBRECHTS Alain et THYS Valérie, à Lamine, à Momalle, à Hodeige et à Crisnée, à des jours et à des horaires différents.

Céline Busin démissionne (Waremme)

Le 7 décembre 2020, la chargée de communication de la commune de Waremme, BUSIN Céline, démissionne quelques jours seulement après son entrée en fonction. Elle déclare s’être trompée et n’être pas faite pour ce poste.

Epidémie à l’école (Jeneffe)

Le 15 février 1939, des cas de scarlatine et de grippe font fermer l’école de Jeneffe pendant 25 jours. Les locaux doivent être désinfectés.

Prise de Mons

En 1691, le Roi de France LOUIS XIV prend Mons, après un siège de 9 jours.

Restauration des orgues (Remicourt – Tongres)

Le 27 juin 1921, HUBERT P. et WESTPHALEN R., de Tongres, réparent les orgues, vétustes, de l’église de Remicourt. La pension et le logement des ouvriers qui effectuent le travail sont pris en charge par les familles HALLEUX et GRUTMAN. Le coût de l’opération sera de 850 francs pour 8 jours.

Semaine de 5 jours à Remicourt

Le 1er octobre 1970, la semaine des 5 jours est instaurée à l’école de Remicourt; le mercredi après-midi est réservé aux sports et à la culture.

Un hiver très rigoureux (hesbaye)

En 1956, l’hiver est particulièrement rigoureux en Hesbaye. Il y a 29 jours de gel consécutifs. C’est l’hiver le plus exceptionnel depuis 1833.

La ferme en carré d’Oreye

En 1981, un agréable site de prairies, parcourues par le Geer et plantées de peupliers, abrite la ferme en carré, en bordure de la rue des Combattants à Oreye. Elle a la forme d’un quadrilatère en brique et pierre calcaire, couvert de tuiles.

Au Nord, un pont enjambe un fossé comblé, reste de douves qui entouraient la ferme, et conduit à un haut bâtiment de deux niveaux, qui cumule les fonctions de logis et de porche d’entrée. Une porte à deux vantaux, couronnée par un arc surbaissé et un linteau droit sur piédroits chaînés, s’ouvre sur un passage charretier qui mène à la cour. Cette porte était protégée par un pont-levis; de larges encoches, permettant le passage des chaînes ou des cordes, sont encore visibles aux angles supérieurs de la feuillure. Trois fenêtres, sans doute agrandies au 18ème siècle, à linteaux en tas de charge et montants harpés, éclairent la partie habitable du porche, accessible par une porte chaînée depuis le passage charretier. Deux jours carrés, surmontés d’arcquettes de décharge, à gauche de la porte, indiquent l’aspect initial des percements. Des ouvertures du même type persistent sur l’un des pignons. Côté cour, un décrochement marque le côté gauche du bâtiment, qui présente également des fenêtres aux linteaux en tas de charge.

Un bâtiment, d’un niveau inférieur, et servant actuellement de logis, jouxte l’entrée. Défiguré par des percements récents effectués de façon irrégulière, il présente les traces de petites fenêtres rectangulaires sous arcquettes de décharge et d’une porte. De nombreux aménagements intérieurs ont, heureusement, été épargnés:

  • une belle cheminée de pierre, dont les montants portent l’inscription « ANNO 1619″;
  • dans l’une des vastes caves jaillit une source d’eau potable;
  • une lucarne en bâtière, qui possède encore son système de poulie, permet d’accéder au grenier.

La grange en double large occupe le côté Ouest du quadrilatère. Son imbrication maladroite dans les autres bâtiments et les traces de fenêtres, dans le pignon du logis contre lequel elle s’appuie, indiquent une construction plus récente.

Dans l’aile Sud, les étables sont couvertes de plafonds plats en bois et de fenils.

A l’Est, il ne subsiste qu’un chartil, couvert d’une bâtière à coyau et croupette, prolongé, côté cour, par un appentis sur piliers de ciment.

Au centre de la cour, le fumier est devenu pelouse.