Le 5 août 1919, le jeune DOUCET Jules, de Geet-Betz, obtient:
- une mention honorable en Langue Flamande
à la remise des prix de la 5ème Latine du Collège Saint-Louis de Waremme.
Le 5 août 1919, le jeune DOUCET Jules, de Geet-Betz, obtient:
à la remise des prix de la 5ème Latine du Collège Saint-Louis de Waremme.
Le 10 mai 1940, un Henschel 123 allemand largue des bombes en direction de la ligne de chemin de fer à Waremme. L’une d’entre-elles explose dans un des bâtiments du fermier DOUCET Jules, situé rue des Champs à Waremme. Plusieurs bêtes périssent.
Le 6 septembre 1944, REYNTENS Louis ordonne à NELIS Gaston, dit « Joseph », de prendre le contrôle de Waremme, avec un groupe de dix hommes et quatre gendarmes.
LEBURTON Edmond désigne les hommes mis à la disposition de NELIS Gaston:
Avant l’opération, le groupe va se cacher dans la ferme de DOUCET Jules.
Dans la nuit du 31 août au 1er septembre 1944, le machiniste THYSEN Auguste, blessé lors du déraillement du train « MITROPA », est d’abord transporté à la ferme de DOUCET Jules, rue des Champs à Waremme. Il sera ensuite conduit à la Clinique Joseph Wauters.
En 1944, LARDINOIS Camille travaille pour le fermier de Waremme, DOUCET Jules, une bonne partie de l’année. Mais pendant la campagne betteravière, il loue ses services à la râperie de Waremme.
Son épouse se prénomme Alice.
En août 1944, la grosse ferme de DOUCET Jules est située rue des Champs à Waremme. Il y habite avec sa famille. Ils partagent le corps de logis avec la famille de son beau-frère, MORIA Edouard, marchand de chevaux. L’épouse de ce dernier se prénomme Marthe.
En 1940, au début du conflit, MARTINAUX Joseph, dit « Bisco », est travailleur agricole, journalier, chez le cultivateur de Waremme DOUCET Jules.