Lors de la campagne betteravière 1976, la râperie de Waremme traite 230.000 tonnes de betteraves, produites sur environ 4.500 hectares. Chaque chargement est pesé. Un échantillon est prélevé et analysé en laboratoire, pour déterminer la teneur en sucre du lot.
Le personnel permanent de la râperie est de 18 ouvriers et 8 employés. Pendant la compagne, le personnel monte à 61 personnes (pour 1976).
En 2001, les bâtiments, qui ont abrité le lavoir, la diffusion, les presses et le laboratoire de l’ancienne sucrerie de Remicourt, sont démolis.
En (?), à l’école technique où il professe à Liège, le Waremmien WAUTERS Joseph dirige également un laboratoire d’essais et de recherches. Il participera à plusieurs congrès internationaux de chimie appliquée à Bruxelles, Turin, Francfort, Londres, …
Le 10 avril 1995, une grève paralyse la Clinique Notre-Dame de Waremme. Le personnel manifeste pour le maintien d’un laboratoire 7 jours sur 7 à la clinique et contre le projet de restructuration des laboratoires des trois cliniques fusionnées.
Le 15 novembre 1991, un nouveau photomètre de flamme par émission est installé au laboratoire de chimie de l’I.P.E.S. à Waremme. Cet appareil est destiné au dosage du sodium, du calcium, du magnésium, … dans diverses solutions telles que les boissons ou le sang.
En 1979, dans la continuité de sa thèse de doctorat, LEBURTON Jean-Pierre, fils de LEBURTON Edmond, s’expatrie à Munich, pour travailler dans un laboratoire de recherche de « Siemens », pour y étudier les propriétés des semi-conducteurs.
En 1969, une section « langues » s’ouvre, en cours du soir, à l’Institut Saint-Laurent de Waremme. Le laboratoire sophistiqué est un des premiers du Royaume à fonctionner dans une école technique.
En octobre 1918, les cours ne reprennent pas au Collège Saint-Louis de Waremme car les Allemands occupent l’établissement. Ils forcent les portes du laboratoire et détruisent ou volent la presque totalité du matériel.