Jacques Noël, laboureur (Longchamps – Waremme)

En novembre 1796, NOËL Jacques est laboureur. Son épouse est JAMAR Anne. Ils habitent à Longchamps, hameau de Waremme.

Dieudonné Guilick, laboureur (Bettincourt)

En mars 1797, GUILICK (GHILICK ?) Dieudonné est laboureur. Il est âgé de 40 ans. Il est installé à Bettincourt.

Naissance de Marie-Catherine Recom (Waremme – Mouhin)

Le 12 Thermidor de l’An V, le 30 juillet 1797, RECOM Marie-Catherine voit le jour à Waremme. Ses parents sont RECOM Mathieu, laboureur, et BODEN(NE) Marie-Aylid-(Cécile ?), qui habitent à Mouhin, hameau de Waremme.

Naissance de Jean-François Noël (Waremme – Longchamps)

Le 3 Frimaire de l’An V, le 23 novembre 1796, NOËL Jean-François voit le jour à Waremme. Ses parents sont NOËL Jacques, laboureur, et JAMAR Anne, qui habitent à Longchamps, hameau de Weremme, (qui se sont mariés à Waremme le 2 février 1780).

Mathieu Recom, laboureur (Waremme – Mouhin)

En juillet 1797 et janvier 1798, RECOM Mathieu est laboureur. Il est âgé d’environ 37 ans. Son épouse est BODEN(NE) Marie-Aylid (Cécile ?). Ils habitent à Mouhin, hameau de Waremme.

Mariage de Joseph Hovent et Marguerite Gutshove (Waremme – Kerniel)

Le 9 (?) Prairial de l’An V, (le 28 (?) mars 1797), HOVENT Joseph (né le 26 avril 1772 à Waremme), âgé de 25 ans, et GUTSHOVE (GUTSKOVE ?) Marguerite, âgée de 21 ans, se marient à Nile, près de Loos (à Waremme ?).

Le marié, menuisier, est le fils de HOVENT François et de MIGNOLET Marie-Joseph, qui habitent à Waremme. Il ne sait pas écrire.

La mariée est la fille de GUTSHOVE (GUTSKOVE ?) Arnold, laboureur à Kzerniel, et de CROUGHS Ida. Elle ne sait pas écrire

François Halain, acquitté (Celles – France)

Le 23 février 1810, HALAIN François, laboureur à Celles, soldat au 32ème Régiment d’Infanterie de Ligne, condamné par contumace, à Paris, comme déserteur au début du mois, est acquitté par jugement contradictoire.

François Halain, déserteur (Celles – Paris)

Le 2 février 1810, HALAIN François, laboureur à Celles, soldat au 32ème Régiment d’Infanterie de Ligne, est condamné par contumace, à Paris, comme déserteur, à trois ans de travaux publics et à 1.500 francs d’amende. Il sera plus tard acquitté.

Jean-Joseph Coëme, réformé (Berloz)

En 1807, COËME Jean-Joseph, laboureur à Berloz, conscrit, est réformé pour infirmité.

Naissance de Jean-Joseph Coëme (Berloz)

Le 11 novembre 1787, COËME Jean-Joseph voit le jour à Berloz. Ses parents sont COËME Pierre-Paul et CLOSE Marie-Joseph. Il sera laboureur.