L’écrit devient de plus en plus important (Liège)

En 1551, un mandement du Prince-Evêque de Liège rend obligatoire la présence d’un greffier dans le cas où une cour de justice locale s’avère totalement incompétente en matière de lecture. D’une société médiévale basée sur l’oralité, nous entrons dans une ère où l’écrit prend de plus en plus d’importance.

Au 8ème siècle, la crise intellectuelle est profonde en Hesbaye

Au 8ème siècle, le caractère purement agricole de la société hesbignonne et le développement peu important du commerce, ont rendu inutile la connaissance de la lecture et de l’écriture pour une immense majorité de la population de la région de la future Waremme.

L’éducation des filles « laisse à désirer » (Waremme)

A la fin du 18ème siècle, un pourcentage important d’hommes de la région sait écrire. Les filles semblent moins avantagées que les garçons.

L’école de Remicourt

En 1789, il y a une école à Remicourt. Le marguillier, LAMARCHE Joseph, enseigne la lecture et la grammaire à 30 enfants, 10 garçons et 20 filles. Les cours se donnent probablement à l’église ou à la cure.

Ouverture d’une école préparatoire (Waremme)

En 1775, les autorités communales de Waremme autorisent FRAIPONT Philippe à ouvrir une petite école préparatoire à la grande école. Il a charge d’instruire les petits enfants dans la crainte de Dieu et en la foi catholique, apostolique et romaine. Il devra leur faire le cathéchisme deux fois par semaine et leur apprendre la lecture, jusqu’à ce qu’ils soient en état d’aller à l’école tenue par le prémissaire.