Le 17 août 2019, LAMBERT Jules, de Waremme, y décède accidentellement à l’âge de 68 ans. Il était veuf de MILQUET Marie-Rose, technicienne de surface à l’IPES de Waremme, décédée 10 jours plus tôt. Il était natif de Waremme. Ils habitaient avenue Edmond Leburton. Il a été ouvrier de la voirie à la commune de Waremme.
Par testament, il lègue ses avoirs financiers au Conseil Consultatif des Aînés de Waremme. Le Conseil devrait ainsi recevoir 14.573 euros.
En 1998, la ville de Waremme bénéficie d’un important legs (de plusieurs centaines de milliers d’euros), en numéraire et en bijoux, d’une Bruxelloise, sous la condition de la constitution d’un « Fonds HEYNE-SAUTIER », destiné à soutenir les personnes âgées vivant dans la précarité.
Le 16 mars 1478, DE BOULANT Marie rédige son testament, par lequel elle lègue à son neveu, DE BOULANT Jean, la Seigneurie de Jeneffe, la châtellenie et l’avouerie de Waremme.
Le 13 avril 1712, les terres et prairies, léguées à ses quatre filles par LEJEUSNE (LEJEUNE ?) Gilles en 1685, sont partagées comme suit devant la Cour de Berloz:
En 1669, VAN DE WATER Hélène décède à (?). Son mari veuf est le Comte DE CORSWAREM Jean II. Elle lui lègue tous les droits qu’elle possédait sur la terre et la Seigneurie d’Oyan (?).
En octobre 1239, DE CORSWAREM Arnould lègue tous ses biens à l’abbaye cistercienne de la Paix-Dieu.
Le 23 juillet 1636, le curé de Viemme, l’abbé PRINTHAYE Jean, rédige son testament. Il lègue tous ses bien sà sa mère, excepté sa bibliothèque, qu’il lègue à son frère, PRINTHAYE Gérard.
Le 6 juillet 1636, le curé de Hodeige, l’abbé DE DONCHEIL (DE DONCEEL) Thomas, rédige un testament par lequel il choisit sa sépulture dans l’église de Hodeige. Il y fonde un anniversaire et lègue à la Mense des Pauvres une rente annuelle de 4 muids d’épeautre.
Il fait quelques legs, à :
Quant à tous ses autres biens meubles et immeubles, il en institue ses héritiers universels, DE BRABANT Antoine, son beau-frère, et DE DONCEEL Marguerite, sa soeur.
Le 21 juin 1926, après un accord de la famille MELOTTE, un crèche est créée à Remicourt. Elle se situe près de la gare. Elle a pu voir le jour grâce au legs de MELOTTE Jules.
En juillet 1920, suite au décès de Monsieur DELCOMMUNE, le directeur de l’usine MELOTTE, Monsieur RENARD, le remplace à la « Commission Administrative des Hospices Civils Jules Mélotte », destinée à recueillir le legs de MELOTTE Jules à la commune de Remicourt.