En 1990, des vandales incendient la maison omalienne, qui a été reconstituée à Lens-Saint-servais, au lieu-dit « Les Tridaines », sur base du plan des fondations d’un ancien village découvert à Darion,
En 1905, ROYER (?) est bourgmestre de Lens-Saint-Servais.
En 1905, les archéologues, DEPUYDT Marcel, DAVIN-RIGOT (?) et HERMAN-DAVIN (?), constatent la présence d’anciens foyers, sous la terre arable, au lieu-dit « A la Chapelle Saint-Antoine » à Lens-Saint-Servais. Au premier abord, l’aspect de ces foyers ne diffère guère de celui des foyers omaliens d’Omal et de Tourinne.
La fouille méthodique de cet emplacement démontrera que ces habitations remontent à l’Âge du Bronze. Ils y découvrent:
En 1986, une maison omalienne, grandeur nature, est reconstituée à Lens-Saint-servais, sur base du plan des fondations d’un ancien village découvert à Darion, au lieu-dit « Les Colia », en commémoration du centenaire des premières découvertes de traces de cette civilisation dans la région.
Cette reconstitution est installée au lieu-dit « Les Tridaines ». Elle mesure 16,7 mètres de long, 4,65 mètres de large au chevet et 5,85 mètres à l’avant (ce plan forme donc un trapèze). L’espace est divisé en 3 zones: habitat, grange et étable.
Le coût de cette reconstitution s’élève à 300.000 francs.
En 1976, la commune de Lens-Saint-Servais a 230 habitants et une superficie de 305 hectares.
Le 1er janvier 1977, en application de la loi sur la fusion des communes, 7 villages sont réunis pour former le « grand » Geer:
En 1926, MONJOIE Fernande réside à Lens-Saint-Servais. Elle est célibataire.
En 1915, HOUGARDY J. est cultivateur à Lens-Saint-Servais.
En 1915, ROYER R. est fermier à Lens-Saint-Servais.
En 1915, ROSOUX A. est journalier à Lens-Saint-Servais.