Vers 1590 (?), un lépreux, étranger à la ville, est envoyé à l’hôpital de Waremme. On lui remet de l’argent pour qu’il reparte vers le Brabant, d’où il est venu.
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La peste et la lèpre à Jeneffe
En 1597, la peste et la lèpre font des ravages dans la région de Jeneffe.
Les malades à l’écart
En 1531, QUINT Charles publie un arrêté interdisant l’accès aux maisons, tavernes et autres lieux publics, aux malades atteints de la peste ou de la lèpre.
Mort du Père Damien (Belgique – Hawaï)
Certains « lépreux » sont bien traités (Waremme)
Vers 1591 (?), le Waremmien MAKAR Arnuld est reconnu lépreux par les Bonnes Soeurs de Cornillon à Liège. Revenu à Waremme, il va souper dans une auberge avec celui qui a été chargé de le conduire chez les Sœurs. Il n’est pas soigné à l’hôpital de la ville, mais est isolé. Une chaumière est construite aux frais de la ville, à l’écart de la ville.
Pour financer cette construction, une imposition spéciale sera levée auprès des habitants de la ville. Outre la maison, on lui fournit également des meubles, notamment un lit, et des vêtements, notamment un pourpoint.
La lèpre frappe à Waremme
En 1591, MAKAR Arnuld, bourgeois natif de Waremme, est suspecté d’avoir contracté la lèpre. Le Conseil de la ville décide de le faire examiner à Liège, au dispensaire de Cornillon. C’est BEYNE Robert qui est chargé de l’y conduire. L’examen confirme qu’il est bien atteint de la terrible maladie. Au retour de ce voyage un peu spécial, les deux bourgeois BEYNE Robert et MAKAR Arnuld, soupent à l’Hôtel delle Taxhe.