La Société Libérale recommande Emile Delexhy (Waremme – Belgique)

Le 9 juin 1870, le Comité Central de la Société Libérale de l’Arrondissement de Waremme adresse une lettre aux électeurs pour leur recommander de réélire le député, DELEXHY Emile, lors des élections législatives du 14 juin 1870.

L’envoi de courrier (Belgique – Allemagne)

Le 6 mars 1915, les timbres allemands doivent obligatoirement être placés sur la correspondance, avec la surcharge « Belgien ».

Les médecins de Waremme envoient trop de malades dans les hôpitaux

En décembre 1899, le Bureau de Bienfaisance de Waremme écrit aux médecins. Il constate l’augmentation extraordinaire des envois de malades dans les hôpitaux, ce qui semble constituer un abus. Dorénavant, les médecins seront tenus de produire une justification au Bureau pour toute hospitalisation. Il rappelle aux médecins qu’ils ne peuvent envoyer leurs malades dans les hôpitaux que pour les cas qui ne peuvent absolument pas être soignés sur place et spécialement pour des opérations chirurgicales compliquées.

L’ancien Couvent des Sépulchrines (Waremme)

Le 17 avril 1880, le conseil communal de Waremme adresse une lettre au Préfet du Département de l’Ourthe, pour lui signaler la ruine de l’ancien Couvent des Sépulchrines.

Il faudrait ouvrir une école moyenne (Waremme)

En 1850, dans son rapport au conseil provincial de Liège, le commissaire de l’arrondissement de Waremme, HALLET A., insiste sur la nécessité de créer dans cette localité une école moyenne. Plus de 300 élèves, dont environ 50 étrangers à la commune, fréquentent l’école communale de Waremme. L’arrondissement est entièrement dépourvu d’établissement d’instruction moyenne. Une bonne école professionnelle y réunirait aussi toutes les conditions de succès. Les intérêts de la Hesbaie militent également très puissamment en faveur de l’institution de cours agricoles à Waremme. L’enseignement pratique se ferait dans une des grandes fermes de la localité.

Un corps de volontaires est levé à Waremme

charles rogier

charles rogier

En 1830, DE CHESTRET Isidore, qui vit au château de Donceel, reçoit une missive de ROGIER Charles, chef du gouvernement provisoire. Elle lui commande de se rendre à Waremme, d’y lever un corps de volontaires et de marcher sur Tongres, menacé par un retour offensif des Hollandais. Pour couvrir les frais, il peut utiliser l’argent de la caisse de la Recette des Contributions de Waremme.

La commune envisage de reconstruire le couvent des Sépulchrines (Waremme)

En 1816, la commune de Waremme envisage de reconstruire le pensionnat du couvent des Sépulchrines, qui a été supprimé à la Révolution Française. Dans ce but, le maire de Waremme adresse une lettre au sous-intendant de l’arrondissement de Liège, pour lui rappeler l’audience que ce pensionnat avait avant sa fermeture : « Les sœurs se donnaient à l’instruction publique. Leur pensionnat était très suivi et toujours fréquenté, non seulement par les demoiselles de Waremme et des communes avoisinantes, mais aussi par les demoiselles du pays flamand, jusqu’à cinq, six ou huit lieues de distance. » Ce projet ne sera cependant pas concrétisé.

Le Waremmien Antoine-Joseph Rossinie combat dans l’armée française

Le 3 juin 1812, ROSSINIE Antoine Joseph, ouvrier militaire dans la 2ème compagnie du Bataillon du Danube de la Grande Armée de BONAPARTE Napoléon, natif de Waremme, écrit à sa mère, la veuve de ROSSINIE Lorent à Waremme. Il lui écrit depuis Dantzig en Pologne et lui décrit le mauvais état des chemins que l’Armée doit emprunter.

Une école dans l’ancien couvent des Sépulchrines ? (Waremme)

Le 15 mai 1805, le Conseil Municipal de la ville de Waremme adresse un courrier au Préfet du Département de l’Ourte, pour qu’il obtienne du gouvernement l’autorisation d’installer une école secondaire dans les bâtiments abandonnés ayant appartenu aux religieuses Sépulchrines, sous l’Ancien Régime.

Certains Waremmiens ont tout perdu dans l’incendie

Le 23 octobre 1756, DEJENEFFE Louis écrit à la Cour de Justice de Waremme pour signaler qu’il a perdu une maison, une grange, une écurie et un moulin à huile, dans l’incendie qui s’est produit dans la ville. Il ajoute : « Les Messieurs du dit Warême refusent de me donner 35 écus hors de la somme que vos très nobles Seigneurs ont daigné assigner et accorder par charité à la ville de Warême pour être distribuée aux habitants qui ont eu le malheur d’être brûlés. » Il demande pitié et qu’on ordonne aux Messieurs qui distribuent cet argent, de lui en accorder une partie.