En octobre 1987, le jeune infirmière de Waremme, TRAPELLI Clélia, (30 ans), rejoint la zone musulmane de Beyrouth-Sud, pour se mettre au service de l’organisation « Médecins sans Frontières », qui prodigue une assistance médicale à l’ensemble de la population, meurtrie par douze ans de guerre civile.
TRAPELLI Clélia a suivi des études secondaires à l’Athénée Royal de Waremme et a obtenu un diplôme d’infirmière accoucheuse à l’Institut Provincial d’Etudes Paramédicales de Liège (Barbou).