Le 24 avril 1975, le Conseil Communal de Viemme baptise la place près de l’ancienne école « Place de la Liberté », à l’occasion du 30ème anniversaire de la Libération.
La Place de la Liberté (Viemme)
Répondre
Archives par mot-clé : libération
La Hesbaye liégeoise libérée
Au soir du 7 septembre 1944, toute la Hesbaye liégeoise, jusqu’à la Meuse, est sous le contrôle des Alliés.
Paul Petitjean est de retour (Remicourt)
Le 24 mai 1945, PETITJEAN Paul, qui était prisonnier en Allemagne, rentre à Remicourt.
Le mandat du conseil communal expire (Waremme)
Le 31 décembre 1946, les pouvoirs du conseil communal de Waremme arrivent à expiration. Il a été élu à la suite des élections communales d’octobre 1938. Son mandat a été prorogé en raison des faits de guerre.
Après la Libération, le conseil a fait face aux tâches de la reconstruction et au rétablissement de la vie administrative.
Réunion de dirigeants du P.O.B. (Lamine – Liège)
En juin 1944, sachant le débarquement imminent, une assemblée, réunissant une cinquantaine de dirigeants du P.O.B. de la Province de Liège, se tient à Lamine, afin de prendre des dispositions importantes pour la libération du pays.
Y participent, notamment :
- TROCLET Léon
- DEHOUSSE Fernand
Martin Charlier libéré du camp de Miranda (Momalle – Espagne)
Le 1er novembre 1941, le capitaine-aviateur CHARLIER Martin, natif de Momalle et résidant à Fexhe-le-Haut-Clocher depuis son mariage, est libéré du camp de Miranda, en Espagne, à l’initiative du Consul de Grande-Bretagne. Il transitera par le Portugal, avant d’arriver en Angleterre.
Rosa Fusch chez Hyacinthe Docquier (Remicourt)
Vers 1943, FUSCH Maurice, dit « Le P’tit Russe », un Juif d’origine polonaise, confie sa fille FUSCH Rosa, à DOCQUIER Hyacinthe de Remicourt. Elle vivra chez lui jusqu’à la Libération.
Libération d’Anatoli Chtcharanski (URSS)
anatoli chtcharanski
Le 11 février 1986, CHTCHARANSKI Anatoli est libéré après 10 ans de captivité, en Union Soviétique. Il est militant pour les Droits de l’Homme et porte-parole du mouvement dissident « Refuznik ».
Un massacre évité à Momalle
Le 6 septembre 1944, les Allemands entendent venger les neuf soldats exécutés à la ferme de Streel, sur la population de Momalle rassemblée dans l’église du village. SMEETS Mathieu, qui parle très bien l’allemand, tente d’infléchir la funeste résolution de l’officier qui les commande: « Tous des braves gens; ils n’ont pas pu exécuter les soldats retrouvés à la ferme de Streel« .
L’officier consent à libérer les femmes et les enfants, mais il veut exécuter 45 hommes hommes. Ses soldats réclament vengeance !
SMEETS Mathieu supplie l’officier de ne pas commettre l’irréparable. La guerre sera bientôt finie et il ne peut souiller son honneur par un crime abominable. Il lui suggère d’emporter tous les véhicules disponibles, en échange de la vie des villageois. L’Allemand finira par accepter. La persévérance de SMEETS Mathieu a ébranlé la détermination de l’officier.
On a échapper de peu à un nouvel « Oradour-sur-Glane ».
Jeannne Radoux est de retour (Momalle – Allemagne)
Le 8 mai 1945, RADOUX Jeanne est de retour à Momalle. Après sa libération du camp de concentration de Ravensbruck en Allemagne, elle a séjourné quelques temps dans un hôpital militaire. Elle pèse encore 38 kilos. Ses enfants ne la reconnaissent pas.