En 1994, le tumulus de Celles-Saives, dit « La Tombe de Saives », caché dans un bois situé au centre de parcelles cultivées, au lieu-dit: « A la Tombe » ou « A la Tomballe », conserve une hauteur de 6 mètres. Il présente un plan légèrement ovale, avec des axes au sol de 46m50 sur 42m50.
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Eviter la disparition du tumulus de Celles-Saives
En 1903, le tumulus de Celles-Saives, dit « La Tombe de Saives », caché dans un bois situé au centre de parcelles cultivées, au lieu-dit: « A la Tombe » ou « A la Tomballe », a déjà diminué de plus de la moitié de sa hauteur.
La Commission des Monuments et Sites entreprend des démarches pour le faire acquérir par l’Etat. Elles n’aboutiront pas, mais auront le mérite d’arrêter la destruction du site.
Le tumulus de Celles-Saives
En 1902, le tumulus de Celles-Saives, dit « La Tombe de Saives » est caché dans un bois situé au centre de parcelles cultivées, au lieu-dit: « A la Tombe » ou « A la Tomballe ». le site est devenu un repaire à lapins, qui causent également des dégâts aux cultures voisines. Il risque de disparaître.
Le tumulus d’Aineffe
En 1994, un petit tumulus se trouve à la sortie d’Aineffe, en direction de Chapon-Seraing, face à un monticule de marne extraite lors de la construction d’une conduite d’eau souterraine, qui passe à environ 38 mètres sous le tertre.
Ce tumulus est situé dans un bois privé, au lieu-dit « A la Tombe » ou « Bois de la Tombe ». Il est déformé et creusé de trous par les enfants qui y ont joué, mais ne semble pas avoir été fouillé. Son diamètre peut être estimé à 16 ou 17 mètres. Une carotte pédologique faite depuis le sommet du tertre révèle une hauteur de 2m30 au-dessus du niveau du sol.
La briqueterie de Ferdinand Lahaye (Crisnée)
Le 25 mai 1886, LAHAYE Ferdinand est autorisé à établir une briqueterie sur son jardin, sis à Crisnée, au lieu-dit « Le Village ». Les fours sont placés au centre de la propriété, à 20 mètres du chemin.
Crisnée voudrait un arrêt du vicinal
Le 24 janvier 1885, le conseil communal de Crisnée prie la SNCV d’établir une ligne de tram vicinal d’Ans à Waremme, via Alleur, Othée, Crisnée, Oreye et la vallée du Geer, étant entendu qu’un point d’arrêt soit réservé à Crisnée, au lieu-dit « Aux Croix ».
Les marches de Jean-joseph Kinet (Crisnée)
En 1858, KINET Jean-Joseph, instituteur à Crisnée, est autorisé à placer deux nouvelles marches devant sa maison sise sur la route de Liège à saint-Trond, au lieu-dit « Aux Croix ».
Le mur de Paschal Brassinne (Crisnée)
Le 11 juillet 1854, le Collège Communal de Crisnée autorise BRASSINNE Paschal, boutiquier, à construire un mur de clôture à sa maison sise « Sur la Ville », joignant à la route empierrée et à la propriété de VALLEE Nicolas, et ce sur de vieilles fondations.
Fouilles à Crisnée
En septembre 1937, le Doyen FRESON, de Villers-L’Evêque, réalise des fouilles au lieu-dit « Li Grande Pièce », à Crisnée, sur un terrain cultivé par DENOMERENGE. Il dégage les murs d’une cave de 3 mètres sur 3 et de 1 mètre 80 de profondeur. Il y découvre +/- 25 kilos de débris de tegulae et de poteries romaines, des tuiles, un cadenas, des poignées en fer, une poignée en bronze bien travaillée.
Entretien de l’école (Crisnée)
En 1954, VANHERCK Rose, épouse LAPIERRE, est désignée pour l’entretien de l’école de Crisnée, située au lieu-dit « Thièr Dèl Vâ ».