Le 8 juillet 1891, RENQUIN Isidore-Louis voit le jour à Lens-sur-Geer (?). Il épousera LOUWETTE Marie. Il combattra durant la Première Guerre Mondiale. Il sera percepteur sur la ligne vicinal « Oreye – Liège ». Il sera garde-champêtre à Lens-sur-Geer.
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Mort d’Isidore-Louis Renquin (Lens-sur-Geer – Oreye – Liège)
Le 15 décembre 1953, RENQUIN Isidore-Louis décède à (?). Il a épousé LOUWETTE Marie. Il était natif de Lens-sur-Geer (?). Il a combattu durant la Première Guerre Mondiale. Il a été percepteur sur la ligne vicinale « Oreye – Liège ». Il a été garde-champêtre à Lens-sur-Geer.
Tram électrique à Crisnée
En 1930, le tram électrique remplace le tram à vapeur sur la ligne vicinale « Saint-Trond – Liège », qui passa à Crisnée.
Le tram passera à Crisnée
Le 24 janvier 1885, le conseil communal de Crisnée demande à la Société des Vicinaux d’étudier la création d’une ligne vicinale entre Ans et Waremme, avec un point d’arrêt au lieu-dit « Aux Croix », à Crisnée.
Démontage de voies (Waremme)
En 1952, les voies de la ligne vicinale « Waremme – Statte » sont démontées, à l’exception du tronçon « Waremme – Hollogne-sur-Geer » (à la demande de la Sucrerie NAVEAU, qui payera même la locomotive)
Le café de l’arrêt du tram (Waremme)
Vers 1912, le « Café de l’Arrêt du Tram » est situé au carrefour de la Porte de Liège, en face de l’abri pour voyageurs de la ligne vicinale « Waremme – Oreye ».
La ligne vicinale Ans – Oreye prolongée
En 1892, la ligne vicinale « Ans – Oreye » est prolongée jusque Saint-Trond. D’Oreye, il fait une heure pour se rendre à Ans et une heure pour se rendre à Saint-Trond. Sept trams passent quotidiennement à Oreye.
Electrification de ligne (Oreye – Ans)
En 1929, la SNCV procède à l’électrification de la ligne vicinale « Ans – Oreye » et la prolonge jusque la Place Saint-Lambert à Liège.
La ligne Ans – Oreye
En juin 1890, la ligne vicinale « Ans – Oreye » est mise en circulation.
Le courrier à Oreye
En 1890, une ligne de tram vicinal est établie à Oreye. Jusque-là, le courrier était amené par malle-poste. Dorénavant, la correspondance postale est amenée par le vicinal. Seule la première dépêche du matin arrive encore, chaque jour, dans une petite charrette tirée par deux chiens. Cette situation perdurera jusqu’en 1920.