Proposition de guichets virtuels (Waremme)

Le 5 février 2021, suite à la décision de la SNCB de limiter les horaires d’ouverture des guichets dans les gares, le conseiller communal libéral (Groupe « Pour Waremme »), LEURIDAN Grégory, propose que des guichets « virtuels » soient testés à la gare de Waremme, par lesquels le public peut s’adresser à un agent par un écran interposé (comme cela se fait dans les locaux de la police).

Un cinéma à la Maison du Peuple (Waremme)

En 1929, les gestionnaires de la Maison du Peuple de Waremme et ceux de l’Union Coopérative (dont fait partie la Coopérative « La Justice » de Waremme), décident la création d’un cinéma, voyant en celui-ci un moyen d’ouverture sur le monde.

L’architecte choisi est MOUNTSCHEN Joseph, par ailleurs échevin des travaux à Jupille.

L’espace dévolu au futur cinéma est limité, d’une part, par le magasin de la Coopérative et la Maison du Peuple, situés rue de la Station, et d’autre part, par la « Bergerie » située à l’arrière de ces bâtiments et ouvrant sur la rue Neuve (qui deviendra plus tard la rue Emile Hallet).

La « Bergerie » se situera derrière la scène du théâtre-cinéma et comprendra les loges des artistes. Elle a été tour à tour magasin aux grains et farines, local de différents groupements, salle de répétition et d’exercices pour la gymnastiques.

Relief for Belgium (Crisnée)

En 1917, le conseil communal de Crisnée décide que la consommation journalière de farine américaine, provenant de « Relief for Belgium » ne pourra dépasser 325 grammes par habitant

La journée de travail de 9 heures (Belgique)

Le 13 mai 1919, la durée maximale de la journée de travail est dorénavant fixée à 9 heures, en Belgique.

La pâtisserie est limitée par les Allemands (Waremme – Allemagne)

Le 25 novembre 1915, l’occupant fait savoir aux boulangeries, pâtisseries et restaurants, qu’ils ne peuvent fabriquer des « pâtisseries de tout genre » que le mercredi et le samedi.

Revendications médicales (Waremme)

Le 20 octobre 1853, dans le journal « Le Scalpel », organe des professionnels de la médecine, de la pharmacie et de l’art vétérinaire, les médecins de l’arrondissement de Waremme émettent le vœu que le nombre d’officines pharmaceutiques soit limité et que leur siège soit fixé par la députation permanente, sur avis du conseil médical provincial. Ils demandent également que le projet de loi sur le service médical des pauvres accorde à l’indigent la liberté de choisir le médecin qui a sa confiance.