Un cinéma à la Maison du Peuple (Waremme)

En 1929, les gestionnaires de la Maison du Peuple de Waremme et ceux de l’Union Coopérative (dont fait partie la Coopérative « La Justice » de Waremme), décident la création d’un cinéma, voyant en celui-ci un moyen d’ouverture sur le monde.

L’architecte choisi est MOUNTSCHEN Joseph, par ailleurs échevin des travaux à Jupille.

L’espace dévolu au futur cinéma est limité, d’une part, par le magasin de la Coopérative et la Maison du Peuple, situés rue de la Station, et d’autre part, par la « Bergerie » située à l’arrière de ces bâtiments et ouvrant sur la rue Neuve (qui deviendra plus tard la rue Emile Hallet).

La « Bergerie » se situera derrière la scène du théâtre-cinéma et comprendra les loges des artistes. Elle a été tour à tour magasin aux grains et farines, local de différents groupements, salle de répétition et d’exercices pour la gymnastiques.

Création du Waremme Racing Car

En 1965, le « Waremme Racing Car » est créé à Waremme par:

  • MOUREAU Joseph
  • PIROTTE Pierre
  • RENKIN André
  • VERDIN Jean-Marie, dit « Trésoi »
  • WAUTERS Dany

Leur local est installé au café « Au Saloon ».

Le toit de la salle du TTC Bovenistier s’envole

Vers 1975 (?), par grand vent, la toiture de la salle du club de tennis de table « TTC Bovenistier », attenante au « Café des Sports » du village, s’envole, rendant le local inutilisable.Le club doit s’expatrier dans la salle des fêtes de l’ancienne école moyenne, à Waremme.

Les Récollets, Ordre Mendiant (Waremme)

Aux 17ème et 18ème siècles, les Pères Récollets de Waremme, qui appartiennent à la classe des Ordres Mendiants, ne peuvent posséder au plus que:

  • un local pour les abriter;
  • une bibliothèque pour les instruire;
  • un four;
  • une brasserie;
  • un moulin;
  • un jardin pour les nourrir et leur fournir une certaine somme de travail manuel;
  • une église pour leurs offices;
  • un cimetière pour y reposer.

En dehors de cela, rien ! Aucune terre, aucune rente, avec l’obligation de mendier leur pain quotidien, en se fiant à la Providence.

A Waremme, quand chaque semaine ou chaque mois, ils parcourent les rues, les pieds nus, avec besace au dos, demandant humblement leur pain, jamais cette besace ne revient vide.

Remise pour matériel et abri des ouvriers (Crisnée)

Le 18 septembre 1979, pour remiser et mettre à l’abri le matériel de voirie (tracteur, grue, camion, faucheuse, épandeur, …) et offrir aux ouvriers communaux un local où ils pourront travailler en cas de mauvais temps, le conseil communal de Crisnée décide de faire construire, à l’emplacement de l’ancien jardin de l’école du village, un garage dont les plans sont réalisés par l’architecte ZILLES Lambert de Kemexhe.

Le devis s’élève à 705.925 francs pour la maçonnerie et à 603.455 francs pour la couverture, la zinguerie et les portes métalliques.

Marie-Louise Chabot, institutrice (Crisnée)

Vers 1925 (?), CHABOT Marie-Louise est institutrice gardienne à Crisnée. La classe se tient dans un local de la ferme LAMARCHE.

L’école gardienne (Crisnée)

En 1916, la première école gardienne de Crisnée accueille les enfants dans un local du presbytère du village. Elle est tenue par la religieuse Soeur « Marie-Joseph ».

Le Marius Petank’s Club (Omal)

Vers 1979, l’ancienne maison communale d’Omal est le local du « Marius Petank’s Club ».

La Poste d’Oreye

En juin 1939, le bureau de Poste d’Oreye est transféré dans un nouveau local, construit pat l’Etat.

Jacques Dechesne, instituteur (Celles)

Le 1er juillet 1818, l’instituteur DECHESNE Jacques-Joseph ouvre une école à Celles, dans un local provisoire loué par la commune.