Vers 460/461, selon la légende, le Duc de Thoringe et le Comte de Tongres, BOIDEN(T), reconstruisent les localités qui ont été détruites par les Huns, notamment:
En 680, le Roi THIERRY Fait don à l’abbaye de Saint-Vaast, à Arras, de certaines localités situées « In Pago Hesbanio » (?).
En 1921, la liste des 91 localités belges autorisées à porter le titre de « ville » est complétée. Mais Waremme n’en fait toujours pas partie. Waremme est alors l’unique chef-lieu d’arrondissement à ne pas porter le titre de « ville ».
Dès le 30 mai 1793, les localités françaises (et donc les localités hesbignonnes) de 400 à 1.500 habitants doivent avoir au moins une école primaire. Cet enseignement concerne les filles de 5 à 11 ans et les garçons de 5 à 12 ans.
En 1963, le tracé de la frontière linguistique est définitivement fixé en Belgique. Corswarem et 14 autres localités rejoignent la Province de Liège.
En 1942, le groupe de Résistants « Zoro » de DERWA Arthur, surnommé également « Commando d’Arthur », est une section punitive. Sa zone d’intervention comprend principalement les localités suivantes, où il dispose de refuges:
Mais il peut lancer des actions punitives jusqu’à la frontière française, près de Longwy et aussi dans le Limbourg.
En septembre 1944, Monsieur PURNODE est le commissaire d’arrondissement de Waremme Faisant-fonction.
Il rédige une proclamation qui devra être affichée dans toutes les localités de l’arrondissement, dès que les Alliés seront là.
Cet avis:
Au mois de juin 1227, une importante réunion se tient à Waremme, à propos de l’acquisition de Saint-Trond par l’Evêché de Liège. En échange, l’Evêque de Metz reçoit quelques localités liégeoises situées en Lorraine. Quelques jours plus tard, le Prince-Evêque de Liège, DE PIERREPONT Hughes confirme à Waremme les privilèges accordés aux bourgeois de Saint-Trond par leur ancien maître.