Vers 1835, l’instituteur de Celles, LECLERCQ Bauduin-Hubert-Joseph, habite le logement réservé à l’instituteur du village, au n° 16 du Chemin de Celles, à Viemme (qui deviendra plus tard la rue du Fays). Le logement jouxte l’école.
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Les bâtiments officiels d’Aineffe
Entre 1875 et 1900, la Maison Communale, l’école et le logement de l’instituteur d’Aineffe sont construits.
Projet d’une nouvelle école (Hodeige)
Le 1er juin 1878, le conseil communal de Hodeige décide l’acquisition d’un terrain, pour y construire une nouvelle école et un logement pour l’instituteur.
Charles Jamblin, curé desservant (Momalle)
En 1834, l’abbé JAMBLIN Charles est désigné curé desservant de la paroisse de Momalle. Il n’y a plus de presbytère dans la paroisse. Dès lors, il partage le logement de l’instituteur du village.
La Maison du Sacré-Coeur (Waremme)
En 1920, l’ancienne poste de la ville est occupée par les Filles de la Croix de Waremmen qui y établissent 3 classes et y logent les demoiselles institutrices et quelques soeurs.
Ce bâtiment, qui a été acquis en 1908, s’appelle désormais la « Maison du Sacré-Coeur ».
Une ferme de Berloz en 1905
En 1905, une ferme de la commune de Berloz se présente comme suit:
Etendue de l’exploitation
- Terres de labour: 60 ha
- Prairies: 11 ha
- Vergers: 9 ha
Personnel familial
- Le fermier, âgé de 52 ans
- Sa soeur, âgée de 42 ans
- Son frère, âgé de 40 ans
Personnel ouvrier
- 4 ouvriers permanents. Ils gagnent en été 2 francs par jour et, en hiver, 1,5 franc par jour. Sur 300 jours ouvrables, ils travaillent 150 jours à la journée. Les 150 autres jours, ils travaillent en entreprise (récoltes, betteraves, battage, …) et se font ainsi un salaire approximatif de 3,50 francs par jour. Leur champ est labouré par le fermier, pour un montant de 20 francs par ans.
Domesticité
- 3 domestiques et 1 vacher. Ils sont logés et nourris à la ferme. Ils gagnent chacun 400 francs par an.
- 1 servante de ferme. Elle est logée et nourrie à la ferme. Elle gagne 300 francs par an.
Le salaire d’un chef de culture (Momalle)
Vers 1900, un chef de culture, occupé toute l’année à Momalle, perçoit un salaire de 1.000 à 1.200 francs et est logé avec sa famille.
Modernisation de la gare (Waremme)
En 1912, les installations ferroviaires sont modernisées à la gare de Waremme. Le bâtiment (des recettes), qui a été érigé en 1848, est remplacé par une nouvelle construction, de style « Néo-gothique », plus spacieuse et mieux adaptée aux différents services offerts aux voyageurs. Elle a été conçue par l’architecte bruxellois VERMEULEN Adolphe. Elle en briques et en calcaire, reposant sur un soubassement en grès. La partie centrale abrite la salle « des Pas Perdus », qui est accessible par 3 portes jointives, ornées de linteaux en arcature trilobée. Des ailes symétriques en L, surmontées d’une toiture en ardoise, encadrent le bâtiment central.
On y trouve un café, un bureau du télégraphe et le bureau du chef de gare. A l’étage, un logement pour celui-ci et sa famille, lui permet d’être toujours disponible pour assurer le fonctionnement de l’infrastructure.
La « Ais’Baye » (Hesbaye)
En octobre 2013, l’Agence Immobilière Sociale « Ais’Baye » (AIS) a pour mission de promouvoir la location d’un logement décent pour les personnes en difficulté.
Elle couvre les entités de:
- Berloz
- Braives
- Crisnée
- Faimes
- Geer
- Hannut
- Lincent
- Oreye
- Remicourt
- Waremme
- Wasseiges
Elle conclut un mandat de gestion avec des propriétaires-bailleurs, qui ont la garantie 1) de percevoir un loyer chaque mois. L’AIS s’engage également 2) à remettre le logement en état à la fin du mandat. En contrepartie de ces garanties, le propriétaire-bailleur abandonne le choix du locataire et accepte de percevoir un loyer réduit par rapport au marché.
L’abbé Mulimbi, relogé (Oreye – Crisnée)
En février 2014, l’abbé MULIMBI Jérôme, curé d’Oreye – Crisnée, doit être hébergé dans un logement de transit de la commune d’Oreye, pendant les travaux de rénovation du presbytère.