Au 19ème siècle, une aile gauche, comprenant une cuisine, les logements du personnel et des remises, est construite au château de Bleret, dit « La Pommeraie ». Cette nouvelle aile est prolongées par des écuries.
En 1970, 55,8% des logements de Waremme ont été construits après 1945 et 22,3% datent d’avant 1919.
En avril 2016, le CPAS de Fexhe-le-Haut-Clocher aménage 4 logements dans l’ancienne gare du village.
En 1947, le Conseil Communal de Waremme sollicite l’affiliation de la commune à une société de prêts, en voie de formation à Waremme sous le nom de « Hesbaye Laborieuse ». En effet, la ville compte peu de logements d’un prix abordable pour les salariés et les autorités communales désirent soutenir les initiatives susceptibles d’aider les ménages à revenus modestes à acquérir un immeuble.
En 2007, le Home Waremmien dispose de plus de 500 logements à Waremme.
Le 23 novembre 2007, le projet de réaménagement du quartier de l’ancienne râperie de Waremme est présenté à la population : les neuf hectares disponibles, à deux pas du centre-ville, seront occupés par 298 nouveaux logements, de nombreux espaces verts et une nouvelle voie de pénétration pour soulager la circulation au centre-ville. Ce nouveau « quartier » favorisera les modes de circulation lente.
En mai 2002, la société de logements sociaux « Le Hôme Waremmien » dispose de 529 logements : 64 à Oreye, 12 à Remicourt, 14 à Hannut et le reste à Waremme. Ils sont tous occupés.
Le 20 avril 1958, le bourgmestre de Waremme, LEBURTON Edmond, inaugure un nouveau complexe de 180 habitations sociales au quartier du Tumulus, avec ses deux larges artères : l’avenue des Sorbiers et l’avenue François Bovesse.
La construction de ces logements permet de reloger des gens de condition modeste, qui habitaient des taudis et de faire disparaître les logements insalubres de la commune.
En 1870, la caserne de gendarmerie est construite en bordure de la place centrale qui portera son nom (elle sera rebaptisée Place du Roi Albert 1er en 1935. Cette caserne comporte essentiellement quelques logements et une écurie. Le cheval restera le principal moyen de locomotion du gendarme, jusqu’en 1925.