Le 2 mars 1479, le Chevalier DE CORSWAREM Libert, fils de DE CORSWAREM Arnould VI et de DE WAROUX Marie, relève, à la Cour Féodale du Comte de Looz, 12 bonniers de terre et 15 verges de prés à Kukkelberg (?).
Le 16 mars (29 avril ?) 1430, DE CORSWAREM Arnould VI acquiert, devant la Cour Féodale de Looz, la « Cour de Kukelberg », un domaine de 12 bonniers de terres et 15 verges de prés à Corswarem.
Le 22 juin 1423, DE CORSWAREM Arnould VI acquiert, devant la Cour Féodale de Looz, la « Salle de Curange », un fief de 10 bonniers garni d’une maison à Corswarem. Son père, DE CORSWAREM Arnould V est en vie.
Le 21 septembre 1366, DE CORSWAREM Arnould III participe à une séance, présidée par le Prince-Evêque de Liège (D’ARCKEL Jean ?), au cours de laquelle le Comté de Looz est retiré à la famille DE LOOZ, dépourvue descendance masculine directe.
En 1365, le Comté de Looz passe à la Principauté de Liège, qui devient ainsi suzeraine du domaine de Corswarem.
Le 18 novembre 1296, DE CORSWAREM Arnould 1er est témoin, au château de Huy, d’un acte du Prince-Evêque de Liège DE CHALON Hugues, ordonnant une enquête sur les dommages causés par le Comte DE LOOZ aux propriétés de l’abbaye de Flône à Geer.
Le 2 avril 1239, en présence du Comte DE LOOZ Arnould, DE CORSWAREM Guillaume accepte le projet de partage de la succession de son père, DE CORSWAREM Robert, élaboré par son oncle maternel, DE JENEFFE Bauduin, châtelain de Waremme.
En 1216 et 1218, DE CORSWAREM Robert est « Ministerialis » du Comte DE LOOZ.
En 1213 et 1214, DE CORSWAREM Robert est « Ministerialis » du Comte DE LOOZ.
Le 18 février 1636, le Baron DE WEERT Jean entre dans la Principauté de Liège avec une armée de 4000 Croates. Ce général, désirant loger ses soldats dans les villes, adresse aux bourgmestres des lettres de convocation, pour se concerter avec eux dans une assemblée générale. Mais le Chapitre de Saint-Lambert et les députés des Etats défendent à ceux-ci de se rendre à cette assemblée et, surtout, de consentir à ce projet
Mais dans l’entretemps, des détachements croates occupent déjà plusieurs Bonnes Villes peu fortifiées, telles Waremme et Looz, et extorquent à d’autres villes (Tongres, Hasselt, Saint-Trond, …), par leurs menaces, de l’argent et des vivres. La plupart des villages de la Hesbaye et de la Campine sont épuisés.