Le 14 décembre 1886, DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond, DEWONCK et GHAYE conviennent d’un prix pour le nouveau bail de la ferme de Longchamps.
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Le fermier locataire Dewonck (Longchamps – Waremme)
Le 17 juin 1892, DEWONCK vient payer le semestre de loyer de la ferme à DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond.
Les revenus des Communs Pauvres (Hodeige)
Vers 1730 (?), les revenus des « Communs Pauvres » s’élèvent à 91 muids, à Hodeige. Ces revenus sont de deux types:
- Les revenus des Communs Pauvres proprement dits. Ils s’élèvent annuellement à 49 muids et 6 setiers, qui se distribuent aux seuls pauvres. On fait la distribution de ces revenus soit en grains, soit en argent, soit en secours en nature. Les secours en argent varient entre 3 patars et 10 florins. On donne aux malades de la viande, du vin, du pain blanc. On distribue des vêtements et de la houille. L’entretien des aliénés incombe à la caisse des Communs Pauvres, ainsi que la fourniture des drogues aux malades et des cercueils pour les défunts.
- Les autres revenus, qui s’élèvent à 42 muids, s’appellent les « Revenus des Miches ». Ils sont distribués indistinctement (peut-être par abus !) à tous les habitants. Cette distribution de miches se fait pendant le Carême. Le curé lui-même y participe (pour cela, il reçoit 3 muids), mais par contre, il doit chanter, chaque vendredi de Carême, une grand-messe de requiem pour les défunts pauvres; Sur les revenus des Miches, on paie 4 setiers au marguillier pour les anniversaires de Carême, 6 setiers à l’église et 4 aux sonneurs. Le registre des Miches contribue également au paiement du prêtre qui doit dire la première messe les dimanches et les jours de fête (de 6 à 10 muids). Annuellement, l’instituteur reçoit 8 muids pour son salaire, ainsi que pour le chauffage des enfants en hiver, et le loyer de la maison servant d’école et de grenier. Le registre des Miches rétribue également l’habitant du village, dit « gardien » ou « herbier », qui conduit tous les porcs (élevés par chaque habitant du village) à la pâture sur les bois communaux. Pour cela, il reçoit 2 muids par an. Enfin, le mambour chargé de distribuer les secours et de faire les comptes (ordinairement le curé ou le prêtre prémissaire) reçoit comme salaire 8 muids chaque année.
Cohabitation à Remicourt
Le 8 juin 1922, PETITJEAN Hector, instituteur à l’école des garçons de Remicourt, déclare que deux pièces d’habitation lui suffisent et que les autres pièces de l’immeuble peuvent être occupées par BRONCKART Edgard, garde-champêtre, qui s’acquittera du loyer en nettoyant les écoles et la Maison Communale.
Location de la ferme du château (Oreye)
Le 15 mars 1880, NAVEAU Alexandre (DE BOMERSHOVEN) donne à bail, la ferme de l’ancien château d’Oreye, à GERBEHAYE Joseph, pour 8.000 francs. Ce loyer annuel porte sur les terres d’une superficie de 82 hectares et sur les bâtiments.
Des paysans d’Oreye
En 1612, pour exploiter une terre à Oreye, des paysans versent un loyer à l’abbaye de Saint-Trond:
- BOTTI Gérard, 4 setiers de seigle
- BOTTI Martin, 13 setiers de seigle (pour 2 bonniers)
- LE MARCHAND Jean, 10,5 muids et 6 setiers de seigle
Jean Fossis, agriculteur (Oreye)
En 1610, FOSSIS Jean verse un loyer de 18,5 setiers d’épeautre à l’abbaye de Saint-Trond, pour exploiter une terre à Oreye.
Grusin Streignard, agriculteur (Oreye)
En 1604, STREIGNARD Grusin verse un loyer de 18 setiers d’épeautre à l’abbaye de Saint-Trond, pour exploiter une terre à Oreye.
Des paysans d’Oreye
En 1588, pour exploiter une terre à Oreye, des paysans versent un loyer:
- LEONIS Jean: 5 setiers
- LE MARCHAND Jean: 18 setiers
Le loyer des terres à Oreye
En 1514, pour exploiter une terre à Oreye, des paysans versent un loyer (à l’abbaye de Saint-Trond ?):
- COEMANS Jean: 70 muids d’épeautre (pour 25 bonniers et 5 verges grandes)
- WEERAERTS Naye (?): 70 muids d’épeautre
- HANESYNS Guillaume: 70 muids d’épeautre