En 1953, le champion de lutte waremmien, CHARLIER Léon, décède à (?). Il est originaire du quartier de la Porte de Liège à Waremme.
Archives par mot-clé : lutte
Une école socialiste à Waremme
En juin 1912, la Fédération Socialiste de l’arrondissement de Waremme décide de fonder un Ecole Socialiste pour préparer les luttes futures par la connaissance des doctrines socialistes. Elle est à mi-chemin entre le Cercle d’Etudes Sociales et l’Extension Universitaire.
Elle donne des leçons sur les sujets suivants:
- Rapports entre le Capital et le Travail
- L’histoire du mouvement syndical
- Le socialisme agraire
- La lutte des classes
Fête en l’honneur de Léon Charlier (Waremme)
Le 8 février 1951, une fête est organisée à Waremme en l’honneur de CHARLIER Léon, 27 fois champion de Belgique de lutte gréco-romaine, plusieurs fois second aux championnats d’Europe et troisième aux mondiaux de 1928.
Il vient de se voir attribuer la médaille d’argent du Mérite Sportif.
Le « Coeur d’Or » s’embrase (Waremme)
En 1942, le café « Au Cœur d’Or » de Waremme, qui est aussi le local du parti libéral, est complètement détruit par un incendie, alors que son propriétaire, VANHERCK Victor, est prisonnier des Allemands.
Le café disposait d’une salle dans laquelle furent présentés de nombreux spectacles, des bals, des combats de lutte, …
Emile Charlier, champion de lutte (Waremme)
En 1932, CHARLIER Emile, Waremmien originaire du quartier de la Porte de Liège, devient champion de Belgique de lutte libre, en catégorie mi-lourds. Il est le frère de CHARLIER Léon, dit « Le Gros ».
Gustave Renier s’embarque pour l’Afrique (Waremme)
La conscription militaire (Waremme – France)
Le 5 septembre 1798 (19 fructidor de l’An VI ), la loi « Jourdan-Delbrel » sur la conscription militaire est votée par le Directoire, pour lutter contre l’Europe coalisée. Celle loi appelle sous les drapeaux tous les Français (et Belges) célibataires de 20 à 25 ans (à l’exception de ceux qui étaient mariés antérieurement au dépôt de la loi) et leur impose un service militaire de 5 ans.
Cette loi rencontre les plus vives oppositions dans la région de Waremme. Nombreux sont les conscrits réfractaires ou déserteurs. Pour échapper à la conscription, des jeunes gens contractent (avec l’assentiment des maires) des mariages fictifs ou des mariages blancs, avec de vieilles dames veuves ou de très jeunes filles. Le nombre de réfractaires et de déserteurs ne va pas cesser de croître dans les départements belges.
Les autorités doivent menacer et sévir: « Les conscrits appelés par la loi, qui ne se rendraient pas à leur corps, seront privés de l’exercice des droits citoyens, poursuivis et punis comme déserteurs. Ils ne pourront ni recueillir une succession, ni recevoir un don ou un legs. … »
Mesures pour lutter contre les incendies dans la Principauté de Liège
Le 4 mai 1786, le Prince-Evêque De HOENSBROECK Constantin-François prend des décisions pour lutter contre les risques d’incendies en Principauté de Liège.