Enfant assassiné à Berloz

Le matin du 10 novembre 2024, HOUILLET Ethan, un enfant de 4 ans est retrouvé sans vie, dans sa chambre, par son père, HOUILLET Grégory, rue Willine à Berloz. Celui-ci appelle les secours. L’enfant présente des plaies au visage, faites par un objet tranchant. L’autopsie révèlera qu’il est mort par étouffement. La mère, CHOJNACKI Emilie, enseignante, n’est plus au domicile.

Elle est retrouvée vers 13 heures, près du « Pont des Suicidés » de Cheratte (à un cinquantaine de km de la maison du drame). Elle déclare dans un premier temps avoir fait une « grosse bêtise » en trompant son mari ! et qu’elle se préparait à en commettre une autre. Les deux parents sont interrogés plus avant par la police. La mère ajoute qu’elle s’est disputée avec son compagnon, le soir précédent lorsqu’il a appris qu’elle le trompait. Il aurait décidé de rompre avec elle. Il aurait dormi au rez-de-chaussée, alors qu’elle aurait dormi dans la chambre au 1er étage. Elle dit s’être levée vers 6 heures du matin et avoir constaté que son fils était décédé. Elle ajoute avoir eu un « trou noir » et ne se souvenir de rien. Elle déclare avoir quitté le domicile sous le coup de l’émotion. Elle présente des plaies à la main, faites par un objet tranchant. Les déclarations du père sont cohérentes et ne permettent pas, à priori de la mettre en cause. A ce stade, le père est relâché et la mère est placée sous mandat d’arrêt pour assassinat.

Le couple est originaire de Grez-Doiceau et s’est installé à Berloz il y a 5 ans. Les parents n’ont aucun antécédent judiciaire et n’ont jamais attiré l’attention du voisinage.

Peine pour une attaque armée (Jeneffe)

En 1715, quiconque attaque autrui avec une arme est condamné par la cour de justice de Jeneffe à avoir la main droite coupée

Mort de Marie-Elisabeth Bolland (Crisnée – Nivelles)

En 1939, BOLLAND Marie-Elisabeth, dite « Soeur Marie-Vincent », native de Crisnée, religieuse au couvent de l’Enfant-Jésus à Nivelles, décède à la clinique de Louvain, suite aux blessures à la main, causées par un coq, et qui ont provoqués des abcès au cerveau.

Simon Bovy, réformé (Momalle)

En 1813, BOVY Simon, manoeuvre à Momalle, orphelin de père, soldat au 63ème Régiment d’Infanterie de Ligne (?), est réformé car estropié de la main gauche.

La main d’Isidore Crotteux (Waremme – Longchamps – Saint-Georges)

Le 27 septembre 1891, la main de CROTTEUX Isidore-Gérard-Joseph, le garde du château de Longchamps à Waremme, qu’on voulait lui couper à l’hôpital, va mieux. Elle a été soignée par une femme de Saint-Georges.

Pierre-Joseph Houbart, blessé et décoré (Waremme – Crimée)

Du 28 décembre 1854 au 10 juillet 1855, le légionnaire HOUBART Pierre-Joseph, originaire de Waremme, participe à la campagne de Crimée. Au siège de Sébastopol, il est blessé à la main gauche par un éclat d’obus. Il est décoré de la médaille militaire française.

Jean-Pierre Pirson blessé pendant la campagne d’Espagne (France – Waremme)

Le 8 janvier 1812, le Waremmien PIRSON Jean-Pierre, soldat au 3ème Régiment de Tirailleurs de la Garde impériale de Napoléon, est blessé d’un coup de feu qui lui fracture les os de la main droite, durant la campagne d’Espagne. Dans le civil, au moment de son engagement, il exerçait la profession de menuisier.