En décembre 2002, le service résidentiel en soins palliatifs de la clinique Joseph Wauters, service chargé d’administrer des soins et traitements appropriés aux patients atteints d’une maladie incurable, afin d’améliorer la qualité de leur fin de vie, est transféré au rez-de-chaussée de la maison de repos « Les Heures Paisibles ». Le responsable de ce service est le docteur KULACOGLU.
Le 16 septembre 2002, la maison de repos du CPAS de Waremme, le Home « Les Heures Paisibles » déménage de l’avenue Reine Astrid à Waremme, vers les nouveaux locaux construits avenue de la Résistance, accolés à la clinique Joseph Wauters.
Le 19 juin 2002, alors que les travaux de la nouvelle maison de repos, le Home « Les Heures Paisibles » ne sont pas encore terminés, celle-ci s’avère déjà trop petite. Deux cents demandes ont déjà été introduites alors que sa capacité sera de 108 lits. Les actuels pensionnaires de l’ancien bâtiment de l’avenue Reine Astrid (42 lits) et ceux logés à la clinique Joseph Wauters (25 lits) sont prioritaires. Pour les autres, il faudra déterminer des critères de choix.
Le 17 juin 2002, le conseil communal de Waremme décide d’acheter l’ancien dépôt de la société « Dengibeton » et la maison, pour un montant de 100.000 euros, pour y créer des parkings pour la Clinique Joseph Wauters et pour la maison de repos « Les Heures Paisibles » en construction.
En juin 2001, l’Intercommunale du Bois de l’Abbaye vend l’immeuble abritant la maison de repos, le Home « Les Heures Paisibles » à un promoteur immobilier privé, alors que le « Home Waremmien » aurait voulu le transformer en logements sociaux. Un chèque de 12,5 millions de francs belges a fait pencher la balance. Les pensionnaires déménageront avenue de la Résistance, lorsque le nouvel immeuble y sera construit.
Le 17 juillet 1999, ISTAZ Jean fête son 105ème anniversaire à la Maison de Repos « Les Heures Paisibles », située avenue Reine Astrid à Waremme. Il est le plus vieux wallon en vie.
En mai 1998, le Ministre TAMINIAUX Willy pose la première pierre de la future maison de repos « Les Heures Paisibles », qui jouxtera la Clinique Joseph Wauters de Waremme.
En 1907, le tanneur VANDERVELPEN exploite un magasin de cuir, rue de la Station (qui deviendra plus tard l’avenue Reine Astrid). C’est immeuble deviendra plus tard la maison de repos « Les Heures Paisibles ».