En 1665, la communauté de Thys réclame au curé du village, un petit jardin situé entre sa maison et la « Coutegarde », qu’elle lui a prêté.
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Les Croates dévastent Thys
En 1636, la cohorte de Croates de DE WEERT Jean dévaste la Hesbaye.
A Thys:
- La maison de PONCELET Paulus est incendiée. 6 chevaux, 4 vaches, 3 génissons, 140 moutons sur son troupeau de 180 têtes, lui sont enlevés.
- La maison de SERVAIS Jean, au Chemin de Fize, est incendiée.
- La maison de HAPPART Antoine, au Chemin d’Otrange, est incendiée.
- Les récoltes sont pâturées et foulées au pied.
- Une maladie contagieuse se propage.
La Haute Cour de Justice de Thys
En avril 1561, la Haute Cour de Justice de Thys siège en la maison du brasseur du village (brasserie banale), attenante à la grand prairie du Seigneur du lieu.
Le château « Sépulchre » (Ligney)
Avant 1900, une grosse maison bourgeoise de Ligney s’appelle « Château Sépulchre ». Elle a jadis été demeure seigneuriale du village.
(Elle deviendra plus tard la salle « L’Enclos »)
Les Pères de Marie (Ligney – France)
A l’été 1914, des moines français de la Congrégation des Pères de Marie achètent une demeure à Ligney, à CARTUYVELS Julienne, épouse SEPULCHRE, pour y ouvrir une école. Ils s’y installent le 1er août. Des wagons, contenant leurs meubles, literies, linges, et habits, sont pillés à la gare de Waremme.
(Cette demeure deviendra plus tard la salle « L’Enclos »)
Les époux Lecoq (Omal)
En 1998, les époux LECOQ habitent la maison, construite à Omal en 1871 le long de la Chaussée Romaine par le bourgmestre d’Omal de l’époque POLET Jean-Baptiste, lors de la création de sa sucrerie.
Le bourgmestre veut ouvrir une sucrerie (Omal)
Le 26 septembre 1870, le conseil communal d’Omal examine la demande de son bourgmestre, POLET Jean-Baptiste, (via sa société « Jean-Baptiste Polet et Cie »), qui sollicite l’autorisation d’établir une fabrique de sucre à Omal, sur une terre de 3 ha lui appartenant, située à l’entrée du village le long de la Chaussée Romaine. Il désire également y construire une maison.
Lutte contre la petite vérole (Hollogne-sur-Geer)
Le 18 avril 1818, un arrêté, visant à combattre la propagation de la petite vérole, est pris pour les villages de la région de Hollogne-sur-Geer:
» … Aussitôt que la petite vérole se manifeste dans une maison, il sera attaché, par les soins de la police, au-dessus de la porte d’entrée principale, un écriteau portant les mots – De par l’Autorité, Maison infectée de la petite vérole – Cet écriteau muni du sceau de la mairie restera suspendu aussi longtemps que la maladie règnera dans la maison.
A l’exception des ecclésiastiques, des médecins, des gardes-malades, personne ne pourra avoir des communications avec les maisons infectées.
Un enfant habitant la maison ne pourra avoir des communications avec d’autres enfants.
Le corps d’une personne morte de la petite vérole devra être promptement inhumée et au plus tard dans les deux fois 24 heures, sans que qui que ce soit puisse le recevoir à l’église.
Il est défendu, aux maîtres et maîtresses d’écoles et de pensionnats, de recevoir sous peine d’une amende de 3 à 10 florins, un enfant qui n’aura pas été vacciné.
Il est également fait défense aux établissements de charité d’accorder des secours aux familles qui négligent de faire vacciner leurs enfants. »
La maison Mousset (Bovenistier)
En (?), la maison MOUSSET – PLOMTEUX est située à Bovenistier.
Zénon Joiret (Waremme)
En (?), JOIRET Zénon habite rue de Saive (qui deviendra plus tard la rue de Huy) à Waremme. Cette maison a été habitée par le teinturier BRONCKAERS et avant lui par le jardinier et cabaretier LAMBERT L.
JOIRET Zénon est cabaretier et accordéoniste de talent.