Violent incendie à Waremme

Le 16 janvier 1748, vers vingt heure trente, un incendie éclate dans une étable de Waremme. Les flammes, activées parle vent, consument le quart de la ville en moins de 4 heures. L’hôtel de ville, l’école, 32 maisons et 2 grosses fermes avec quantité de bestiaux, sont détruits. Dans ce sinistre, de nombreux Waremmiens vont trouver la mort. D’autres, plus nombreux encore, s’en sortent avec des blessures plus ou moins graves.

Le curé de la ville, le Révérend BOURDON Charles, se précipite au milieu des flammes pour en retirer une femme « déjà rotie par le feu ».

Sans l’intervention énergique des Pères du Couvent des Récollets, établis à Waremme depuis 1630, toute la ville aurait été réduite en cendres.

Comment vivent les habitants de Waremme et des villages avoisinants au début du 14ème siècle ?

Vers 1300, les gens de nos villages vivent dans les maisons en torchis de deux pièces avec toit de chaume, les vitres n’existent pas. On s’éclaire, le moins souvent possible, à la chandelle, un coffre en guise d’armoire, un tréteau comme table, des escabeaux comme sièges, une botte de paille comme matelas. Pas de poêle, parfois une cheminée à feu ouvert On s’habille de bure, on se chausse de sandales en écorce et les mieux lotis de sabots. Médecine et pharmacie n’existant pas, on se soigne de tisanes et remèdes improvisés ! Le salaire des serfs, travailleurs de la terre, est maigre. Le dimanche est le seul jour de repos et la pratique religieuse obligatoire.

L’instruction n’existe pas ; à part les gens d’Église, les villageois sont illettrés pour la plupart.

Comment vit-on dans la région de la « future » Waremme au moment de l’invasion romaine ?

En – 58, à l’époque de l’invasion romaine, il y a une multitude de tribus est subdivisée en cinq classes distinctes :

  • Le chef : choisi lors d’un banquet, parmi les chevaliers de la tribu. Le plus beau, le plus fort, le plus grand et le plus brave est élu. Cet essentiellement un chef militaire.
  • Les druides : Ils s’occupent de la religion. Ils président aux sacrifices publics et privés et règlent les pratiques religieuses autour de dolmens, autels destinés au culte. Ils instruisent les jeunes gens. Ils ne font pas la guerre et sont exempts de toute charge. Chaque année, les différents druides se réunissent dans la forêt des Carnutes. Ce sont des personnages très honorés
  • Les chevaliers : Ce sont les membres de l’aristocratie. Ils possèdent de grandes propriétés et jouent un grand rôle politique. Ils prennent part à la guerre, chacun selon sa naissance et sa fortune, entourés d’un plus ou moins grand nombre d’ambacts et de clients. Ils ont aussi à leur service des bardes (des poètes) qui chantent les hauts faits d’arme de leur maître et de ses ancêtre
  • Le peuple. Il comprend les paysans et les artisans. Les agriculteurs et cultivateurs sont rassemblés dans de grosses fermes ou dans des villages. Les artisans constituent un groupe à part et sont associés en coopérations
  • Les esclaves. Ils sont au bas de l’échelle sociale. Ce sont des prisonniers de guerre ou des victimes de razzias, nombreuses dans cette société belliqueuse.

La vie quotidienne des Celtes au moment de la conquête romaine diffère peu de celle de leurs prédécesseurs de l’âge du bronze. Elle s’est certes améliorée, mais les gestes et les soucis sont restés les mêmes, en dépit du fait que la technique a beaucoup progressé. Leurs armes et leurs outils sont en fer.

Ils vivent dans des villages aux maisons de terres couvertes d’un toit de chaume. Ils portent des vêtements de laine tissée.

Les champs sont désormais labourés à l’aide de lourdes charrues à roue dotées d’un soc et d’un versoir. Ces charrues sont tirées par des bœufs attelés à l’aide de jougs, généralement fixés à leurs cornes. Les graines ne sont toujours pas semées à la volée (c’est une pratique romaine), mais elles sont encore plantées une à une dans des trous pratiqués à l’aide d’un bâton à fouir. Les champs sont désormais enrichis par des engrais artificiels. Le paysan celte sait que l’on améliore la qualité et la productivité du sol en y ajoutant de la marne, récoltée dans le Geer. La récolte s’effectue à l’aide de faucilles en fer, et ‘on coupe toujours le blé juste sous l’épi. La paille est un précieux fourrage pour les animaux, mais sert aussi de matériau de construction. Elle est rassemblée en meules et, désormais, les grains sont conservés dans des silos scellés à l’argile. Le rythme de vie du paysan celte est toujours lié à celui de la terre, mais un outillage meilleur lui permet un gain de temps important et une fatigue moindre. Les vaches donnent leur lait et les bœufs leur viande et leur force. Le bétail est parqué dans l’habitation. La viande de porc est appréciée, et ces animaux sont régulièrement menés à la glandée. On exploite la laine des moutons, qui est arrachée et non tondue. Les hommes vivent en symbiose avec la nature.

Ils entretiennent des relations avec des marchands étrangers du Sud, qui viennent leur vendre du vin et des « produits de luxe ».

Le territoire de nos régions présente des clairières disséminées au sein d’épaisses forêts et de nombreux marécages.

Des meutes de loups et des ours hantent le paysage.

De nouvelles maisons seront construites près du lotissement des Six Tilleuls à Waremme

Le 22 décembre 2003, un deuxième permis de lotir est accordé pour des terrains bordant la future rue de l’Escadron 609, entre la rue Joseph Lemaire et le lotissement des Six Tilleuls. Une trentaine de maisons devraient y être construites.

Un nouveau quartier à la Haute Wegge (Waremme)

En décembre 1981, le nouveau Quartier de la Haute Wegge est encore en construction, mais trente maisons peuvent déjà être occupées.

Le quartier social de la Champanette sera étendu (Waremme)

En 1965, le conseil communal de Waremme décide la construction de 82 nouvelles maisons sociales dans le Quartier de la Champanette.

Le quartier du Tumulus est plus accessible (Waremme)

En 1960, la « Corniche » de la rue des Cerisiers est créée à Waremme, pour donner accès aux maisons du nouveau quartier qui surplombent la rue du Tumulus.

Aménagement du parvis de l’église Saint-Pierre (Waremme)

En 1960, les autorités communales de Waremme décident d’aménager l’accès au parvis de l’Eglise Saint-Pierre. Ces travaux entraînent la disparition des larges escaliers existants et de deux petites maisons de la rue du Perron.

Le nouveau quartier d’Habitations Sociales de la Champanette (Waremme)

En 1960, la décision de construire un quartier d’habitations sociales, dans les prairies marécageuses de la Champanette, à Waremme, est prise. Il devrait comprendre 190 maisons. Il sera construit par le « Home Waremmien ».

Les dépenses très élevées de l’aménagement de ce quartier sont supportées par le « Fonds Brunfaut ».

Inauguration du quartier d’habitations sociales du Tumulus (Waremme)

Le 20 avril 1958, le bourgmestre de Waremme, LEBURTON Edmond, inaugure un nouveau complexe de 180 habitations sociales au quartier du Tumulus, avec ses deux larges artères : l’avenue des Sorbiers et l’avenue François Bovesse.

La construction de ces logements permet de reloger des gens de condition modeste, qui habitaient des taudis et de faire disparaître les logements insalubres de la commune.