Les habitations sociales de la Haute Wegge (Waremme)

Le 6 novembre 1955, le quartier d’habitations sociales de la Haute Wegge à Waremme est inauguré par LEBURTON Edmond. Il portera le nom d’une œuvre de STIERNET Hubert : « Haute-Plaine », dans lequel il conte des scènes typiquement waremmiennes.

Ce quartier de 28 maisons a été construit par le « Home Waremmien ».

Construction du complexe d’habitations sociales de la Haute-Wegge (Waremme)

Le 3 juillet 1954, LEBURTON Edmond pose la première pierre d’un nouveau complexe d’habitations sociales, qui s’élèvera à la Haute Wegge, à Waremme, et qui comptera 28 maisons.

La Cité-Jardin de Saint-Eloi (Waremme)

En août 1952, lors de la fête du quartier de la Porte de Liège, le bourgmestre de Waremme, LEBURTON Edmond, pose la première pierre de la Cité-jardin de Saint-Eloi, qui comportera 27 maisons.

Nouvelles constructions à Waremme

A partir des années 30, des maisons commencent à être construites en bordure de l’avenue des Tilleuls, partie des anciens remparts, nivelés en 1914, comprise entre la place de la Porte de Liège et la rue du Baloir.

Les Remparts de Waremme sont rasés

En octobre 1914, désireux d’occuper les chômeurs involontaires de la commune, afin qu’ils ne soient pas contraints de partir travailler en Allemagne, le bourgmestre faisant-fonction de Waremme, JOACHIM Guillaume, décide de les mettre au travail dans le grande entreprise de terrassement des remparts de la ville. Il engage donc 200 ouvriers qu’il paie 2 francs par journée de 8 heures de travail, pour effectuer le travail colossal de retirer 6.145 m3 de terre à la pelle et à la pioche. Ces travaux sont effectués avec l’accord de l’occupant allemand.

La disparition des remparts permettra à la ville de s’agrandir. Des chemins droits comme des sillons seront tracés à travers prés et champs, en bordure de la ville. L’une de ces artères est appelée « avenue des Tilleuls ». Progressivement, des maisons seront construites le long de ces chemins.

Un incendie à Waremme

Le 20 avril 1895, un incendie détruit quatre maisons de la ruelle du Geer, à proximité de la gare de Waremme. Le sauvetage de plusieurs porcs donne lieu à des incidents burlesques.

Cortège aux flambeaux (Waremme)

Le 1er juillet 1894, vers 21 heures, un cortège aux flambeaux est organisé à Waremme, en l’honneur de RENIER Gustave Ferdinand. Les rues sont pleines de monde, les façades des maisons sont décorées et illuminées.

Une épidémie de choléra (Waremme)

En 1866, une grave épidémie de choléra décime la population de Waremme. De l’eau phéniquée et du chlorure de chaux sont répandus à profusion dans les maisons des indigents, dans les canaux, rigoles et lieux insalubres de la commune. Les mares d’eau et rigoles reçoivent un écoulement. Les tas de fumier existant sur la voie publique et dans les cours des habitations sont transportés.

Il n’existe pas d’égouts à Waremme.

Le Chef de Gare de Waremme

En 1857, le moulin à vapeur de la rue de Huy appartient au chef de gare de Waremme, JACQUES Théodore-Joseph. Il vient aussi de faire construire deux belles maisons de la rue de la Station.

Les gros propriétaires de Waremme en 1856

En 1856, il y a quelques gros propriétaires à Waremme :

  • BOUX Nicolas, rentier : propriétaire de 18 maisons.
  • Le Baron DE SELYS-LONGCHEMPS : propriétaire de 17 maisons.
  • La veuve FRERARD Théobald : propriétaire de 10 maisons.
  • HENNIN Guillaume, charpentier : propriétaire de 7 maisons.
  • MARCOTTY Renier, lieutenant des douanes : propriétaire de 7 maisons.
  • RENIER Guillaume-François, négociant: propriétaire de 6 maisons
  • JACQUES Isidore, négociant: propriétaire de 6 maisons
  • BOUX Gisbert-Balthazar: propriétaire de 5 maisons
  • ROSSINY Henri-Joseph, rentier: propriétaire de 5 maisons
  • PLESSERIA Marie-Joseph, épouse MONJOIE: propriétaire de 4 maisons
  • FLEUSSU Xavier, médecin: propriétaire de 4 maisons
  • LONDOZ Louise: propriétaire de 4 maisons
  • la veuve RENIER-RENSON et ses enfants: propriétaires de 4 maisons