En 1789, il y a 494 habitants et 92 maisons à Jeneffe.
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Jeneffe en 1470
En 1470, il y a 38 maisons à Jeneffe.
Jeneffe en 1801
En 1801, la superficie de Jeneffe est de 53.000 ares et 13 milliares (?). La position est plate et unie. Son sol est assez bon et son climat des plus sain. Aucune rivière, aucun ruisseau ne passe dans la commune. Il n’existe aucun bois dans son étendue et le plus à proximité est éloigné de 2 myriamètres (?). Il y a un endroit appelé « A la Chaussée ». Cet endroit est ainsi appelé parce qu’en son milieu traverse la Chaussée Verte, c’est-à-dire un grand chemin élevé et assez fréquenté par les voyageurs du côté de Namur à Tongres (il s’agit d’une ancienne chaussée romaine). Cet endroit est composé de 2 fermes et 4 autres maisons situées au levant.
Les exactions des Croates de Jean de Weert (Principauté de Liège)
Le 18 juillet 1636, le Chapitre de Saint-Lambert de Liège fait part, aux Trois Etats réunis, des exactions commises par les troupes de DE WEERT Jean:
« Pendant l’espace de 4 mois et davantage, la gendarmerie de DE WEERT Jean et d’autres associés a exercé dans le pays tous actes d’hostilité, toutes sortes de cruautés, perfidies, sacrilèges, meurtres, oppressions, concussions, rapines, voleries, brandschats, violations très infâmes de femmes et filles, et commis une infinité d’autres actions très exécrables et tyranniques et plus que barbares. Elle a en outre bouté le feu et réduit en cendres des villes et plusieurs villages entiers avec beaucoup de milliers de maisons; pillé et brulé un grand nombre d’églises et de monastères, déchassé par le plat pays les pasteurs et gens d’église, fait cesser l’office divin et contraint, selon que l’on tient, plus de 10.000 personnes de se retirer de ce pays catholique aux provinces de la religion contraire, avec danger d’y perdre corps et âmes, et même, chose horrible, foulé au pieds, en plusieurs lieux, le très auguste et Saint Sacrement de l’autel. »
La peste à Hodeige
En 1787 / 1788, la peste (une autre maladie contagieuse ?) sévit à Hodeige. La mortalité est élevée. La « Maladrie » est installée hors du village. On y parque les malades dans des loges en bois et on y enterre les morts. (En dehors de l’enceinte des maisons, sur une éminence de terrain).
Le curé du village, l’abbé D’OUTREPONT Barthélemi-Joseph attrapera la maladie en allant visiter et soigner les malades. Il en décèdera.
Les prochains travaux à Remicourt
Le 26 mars 1948, les autorités communales de Remicourt dressent leur plan quinquennal de travaux:
- les égouts (à l’étude depuis 1947)
- un nouveau cimetière
- le chemin de Pousset à mosaïquer sur 700 mètres
- les chemins du « Circuit Village » à mosaïquer sur 1.200 mètres
- la création de bâtiments pour deux classes
- une classe existante sera divisée en deux paries, l’une deviendra salle de gymnastique et l’autre cabinet de médecine
- les trottoirs
- établissement d’une piscine avec plaine de jeux
- construction de maisons à bon marché
- construction d’un chemin direct entre Remicourt et Momalle
- construction d’un chemin pour prolonger la « Nouvelle Percée » de la gare vers le viaduc du Pont-Bonne
- la reconstruction de l’église qui, n’étant pas un bien communal, est du ressort de l’Etat
Destructions à Remicourt
En janvier 1945, plusieurs maisons sont endommagées par la chute d’une bombe volante allemande « V1 », notamment celles de:
- GAUNE Gaston
- OLIVIER
- BEERBLOCK
Oreye en 1992
En 1992, la population du « Grand Oreye » s’élève à 3.200 habitants et le nombre d’habitations à +/- 1.000.
Réparation d’immeubles (Crisnée)
En 1949, le conseil communal de Crisnée accepte le plan d’alignement pour les réparations la reconstruction des maisons endommagées par la chute d’une bombe volante V1 allemande, à la fin de la Deuxième Guerre Mondiale.
Ces maisons appartiennent à:
- SCHOENAERS Lambert
- RENOTTE Joseph
- MEUWIS Jules
- les sœurs LAHAYE
Prévention des inondations à Crisnée
Le 1er juillet 1910, le conseil communal de Crisnée décide de faire creuser des rigoles pour prévenir le retour de l’inondation des maisons situées dans le fond longeant le Chemin de Lowaige, et en Sart. La clôture entre les divers propriétaires riverains se fera au moyen de fils de fer, disposés sur 3 rangées. Le travail sera effectué par le cantonnier du village.