En janvier 1850, le docteur JACQUES, de Waremme, souffre de pleurésie.
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Mort de Pierre-Lambert Eloy de Burdinne (Waremme – Belgique)
Le 16 janvier 1855, ELOY DE BURDINNE Pierre-Lambert décède en son château de Burdinne, à l’âge de 78 ans, des suites d’une longue et pénible maladie. Sa veuve est la Baronne DE STASSART. Il a été député et sénateur catholique de l’arrondissement de Waremme et bourgmestre de Burdinne. Il sera probablement remplacé par DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond au Sénat.
Mort de Claudine Etienne (Waremme – Liège)
Le 5 janvier 2015, ETIENNE Claudine, de Waremme, y décède des suites d’une pénible maladie à l’âge de 76 ans. Elle était veuve de LIBERTON Marcel. Elle était native d’Awans.
Elle était Conseiller honoraire près la Cour de Travail de Liège, membre du « Soroptimist Hesbaye », membre du « Probus de hesbaye » et de l’ASBL « Les Amis du Haut-Regard ».
Henri Monjoie, malade (Waremme)
Mort de Joseph Wauters (Waremme)
Le 30 juin 1929, vers 1h30 du matin, affaibli par une douloureuse maladie, WAUTERS Joseph décède à Uccle. Il a été député du Parti Ouvrier Belge (POB), ministre de l’industrie et du travail, notamment. Il sera inhumé au cimetière de Waremme.
Mort de Guillaume Streel (Waremme – Belgique)
Le 1er janvier 1900, le député de l’arrondissement de Waremme, STREEL Guillaume, décède à Waremme, à l’âge de 40 ans, des suites d’une courte maladie. Il sera remplacé par un autre catholique, MEYSMANS Léon. Sa veuve est GREGOIRE Maria.
Il était également président de la Conférence de Saint-Vincent de Paul.
La salle « Philippe Féchir » (Waremme)
En avril 1990, les autorités communales de Waremme décident de baptiser la salle d’arts martiaux du complexe sportif de Waremme, « Salle Philippe Féchir », en hommage au responsable du club de karaté, décédé d’une maladie fulgurante, l’été passé.
Mort de Philippe Féchir (Waremme)
En 1989, FECHIR Philippe décède en quelques semaines d’une terrible maladie. Il est âgé de 36 ans. Il s’est occupé du club de karaté de Waremme pendant 10 ans.
Mode de vie en Hesbaye au début du 19ème siècle
Entre 1806 et 1813, le Français THOMASSIN Louis-François rédige Le « Mémoire Statistique ». Il est chef de la division des finances à la Préfecture du Département de l’Ourthe.
Il décrit un peuple très attaché au catholicisme et aux figures ecclésiastiques qui l’incarnent; mais aussi un peuple peu instruit et revendicatif, friand de procès.
Il trace une ligne de partage entre Flamands et Wallons, mais surtout entre classes sociales. Les rares fermiers, propriétaires et locataires, exercent un réel pouvoir sur les nombreux ouvriers agricoles et manoeuvres, qu’ils peuvent congédier à discrétion et qui nourrissent dès lors à leur endroit une rancune tenace.
THOMASSIN observe, par ailleurs, un paradoxe: bien que vivant sur le sol le plus productif du département, le Hesbignon se nourrit très mal, préférant exporter le fruit de son travail et s’alimenter de pain de seigle mal cuit, de lard et de pommes de terre. Seuls les plus aisés dérogent à cette règle.
Il note la présence de débits de boissons dans chaque village mais l’absence presque totale d’auberges, sauf sur la route de Liège à Bruxelles et à Waremme même.
De ce portrait, peu flatteur, on peut encore épingler deux traits significatifs:
- l’importante consommation d’alcool (de bière et, surtout près de la Meuse, d’eau de vie de grains) qui ne contribue guère à apaiser les esprits;
- une conception très utilitariste des priorités. THOMASSIN écrit, en effet, que le fermier et le cultivateur de Hesbaye se déterminent difficilement à la plus légère des dépenses pour faire administrer des secours à sa femme et à ses enfants lorsqu’ils sont malades. Par contre, ils prodiguent l’argent dès qu’il s’agit de procurer des remèdes pour leurs chevaux, leurs vaches, leurs moutons, …
Les troupeaux sont décimés (Hesbaye)
En 1769, une épizootie décime les bovins en Hesbaye.

