Manège de la Botte d’Or (Corswarem)

En 1974, la ferme-château de Corswarem est aménagée en manège par le cercle équestre « La Botte d’Or ».

Création du Centre Equestre de Hesbaye (Jeneffe – Donceel)

En novembre 1993, le manège « Centre Equestre de Hesbaye » est créé à Jeneffe (Donceel), par une famille (?) dont les filles font de l’équitation.

Le Centre Equestre de Hesbaye, à remettre (Jeneffe – Donceel)

En août 2024, PAESHEN Patrick et son épouse (?) Murielle décide de remettre le manège « Centre Equestre de Hesbaye », installé au n° 34 de la rue Chantraine à Jeneffe (Donceel), avec tout le matériel et l’équipement, pour un prix proposé de 1.200.000 euros. Il avaient repris l’établissement en 2002.

Exercice militaire à Longchamps

Le 25 décembre 1832, un exercice militaire est effectué au manège, à Longchamps.

Y participent:

  • GLADE Mathieu, capitaine
  • DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond, porte-enseigne
  • GHAYE Michel, tambour
  • FRAIPONT Georges, soldat
  • FRAIPONT Remi, soldat
  • GLADE Joseph, soldat
  • WAUTERS Jacob, soldat

 

Vol au château (Longchamps – Waremme)

Le 21 août 1844, vers 1 heure du matin, le vent est violent et la pluie battante. Un voleur s’introduist dans le château de Longchamps à Waremme en ouvrant une persienne, en cassant un carreau et en faisant des trous avec un vilebrequin dans le volet de la fenêtre du grand escalier pour l’ouvrir. Il visite la chapelle et le grand salon sans rien prendre, en s’éclairant d’allumettes chimiques. Dans le petit salon, il ouvre les tiroirs de la psyché, prend une quarantaine de francs et 4 flambeaux en plaqué (or), (dont on retrouvera une bobèche dans l’herbe). Il semble qu’il n’y a qu’un homme, à souliers-bottes assez élégants. Il sort par le jardin anglais et la barrière du manège.

Les gendarmes, le bourgmestre LEJEUNE et le secrétaire communal SCHOFFENIELS viendront constater le délit.

Mort de Monfrère (Geer – Longchamps)

Le 18 octobre 1859, MONFRERE, de Geer, tombe mort sur le chemin près du Manège, à Longchamps. C’est une rupture d’anévrisme.

Projet d’habitation de garde (Longchamps)

Le 25 octobre 1877, DEMANY vient au château de Longchamps pour le projet de construction d’une maison de garde, contre le manège.

La ferme d’Otrange

En 1981, au Nord de l’imposant château d’Otrange du 18ème siècle, principalement de Style Mosan, toujours entouré de douves, et lui faisant face dans un très beau site de prairies boisées traversées par le Geer, se trouve une vaste ferme en U, en brique et calcaire, sur soubassement en moellons, couverte de bâtières de tuiles. Datant du 17ème siècle, la plupart de ses bâtiments ont été remaniés (essentiellement au 19ème siècle).

L’aile Est de cet ensemble comprend le logis, le porche non saillant et des étables qui se prolongent dans l’aile centrale.

L’aile Ouest est réservée à la grange.

L’accès à la cour semi-pavée se fait à l’Est par le porche formé d’un arc en anse de panier, doublé d’un rouleau de brique, sur piédroits chaînés et protégé par des chasse-roues. Ce porche est couvert d’un plafond plat en bois. Il jouxte le logis en L, dont la partie la plus courte déborde de l’alignement de l’ensemble des bâtiments et baigne dans les douves du château. Un beau pignon débordant à épis, portant la date de 1646, forme l’angle de ce logis d’un niveau et demi. Il est divisé en cinq travées et éclairé de larges baies rectangulaires, probablement percées au 19ème siècle.

Les étables, couvertes de plafonds plats en bois, sont percées de portes à linteau droit avec un arc de décharge en brique sur piédroits chaînés, alternant avec des fenêtres du même type. Elles sont surmontées de fenils, s’ouvrant par des baies gerbières cintrées sur piédroits harpés, cantonnées de petites ouvertures à linteau droit. A l’origine, la bâtière de tuiles devait être débordante vers la cour et reposait sur des jambes de force en bois prenant appui sur des consoles de pierre encore visibles.

Un pigeonnier couvert d’une bâtière de tuiles s’élève au-dessus du volume constitué par l’aile centrale du U. Il porte la date de 1830, qui s’applique certainement à diverses transformations effectuées aux percements de cette partie.

La grange en double-large s’ouvre vers la cour par deux portails protégés d’un auvent de tuiles prolongeant la bâtière et reposant sur des jambes de force en bois. Le portail gauche a été transformé; celui de droite est en plein cintre, doublé d’un rouleau de brique sur piédroits harpés. Des percements récents altèrent légèrement l’aspect de cette grange, dont l’intérieur a été réaménagé pour l’élevage des vaches laitières. Deux annexes couvertes de tuiles s’y appuient. La plus vaste était peut-être utilisée comme manège à battre le grain.

Un appentis de tuiles sur piliers de brique est adossé au revers des étables de l’aile droite, servant de remise à matériel.

En dehors du quadrilatère, face au logis, un petit bâtiment, aujourd’hui transformé en garage, aux pignons débordants à épis, abritait probablement le four à pain.

Henri Maquet, bourrelier (Momalle)

En (?), le bourrelier MAQUET Henri est installé rue Haut-Vinâve, à Momalle. (A cet endroit s’installera plus tard un manège).

La gendarmerie de Waremme

Le 10 mai 1940, lorsqu’éclate le conflit, la gendarmerie de Waremme est située place du Roi Albert 1er. C’est une imposante bâtisse. Outre les bureaux administratifs, elle accueille 5 familles de sous-officiers. Derrière le bâtiment, à l’abri d’un haut mur, se trouvent les écuries et le manège où les gendarmes peuvent s’entraîner.