Edouard Moria, marchand de chevaux (Waremme)

En 1944, MORIA Edouard est marchand de chevaux à Waremme. Il habite rue des Champs, avec sa famille. Sa femme se prénomme Marthe.

Fernand Lambert à la P.A.P. (Petit-Axhe)

En 1939, le marchand de charbon de Petit-Axhe, LAMBERT Fernand, devient membre de la Protection Antiaérienne Passive (P.A.P.).

Fernand Lambert (Petit-Axhe)

Le 28 août 1944, pendant le bombardement de Waremme et de Grand-Axhe, LAMBERT Fernand se réfugie dans la tranchée de la prairie « FASTRE » à Petit-Axhe. Après celui-ci, il se rend dans le centre de Waremme, pour participer aux secours.

Il est marchand de charbon. Il est membre de la Protection Antiaérienne Passive. Il est membre de la fanfare cycliste « L’Agrément de la Pédale ».

Alexandre César, marchand (Waremme)

En 1944, CESAR Alexandre est marchand de pommes de terre à Waremme.

Albert Noben, marchands de cordes (Waremme)

En août 1944, NOBEN Albert est marchand de cordages à Waremme.

Il est de petite taille, mais dépasse largement les 100 kilos.

Jean de Schoonhoven emprunte (Lantremange – Huy)

Vers 1666, le Seigneur de Lantremange, DE SCHOONHOVEN Jean emprunte une importante somme d’argent à GORONNE Mengold, marchand bourgeois de Huy. Il lui devra une rente annuelle de 200 florins brabant.

Naissance de Camille Renier (Waremme)

Le 12 septembre 1889, RENIER Camille-Florent-Joseph voit le jour à Waremme. Il y sera marchand de vélos durant la Deuxième Guerre Mondiale.

Camille Renier, marchand de vélos (Waremme)

En 1941, RENIER Camille-Florent-Joseph est marchand de vélos à Waremme. Il est âgé de 52 ans.

Baudouin 1er de Jeneffe retrouve et arrête un meurtrier

Le 7 novembre 1225, le Comte D’ALTENA D’ISENBERG Frédéric, seigneur de Nienbrugge, avec une bande de ses gens, massacre lâchement, dans un guet-apens, au milieu d’un voyage, son cousin DE BERGHES Englebert, archevêque de Cologne.

Pour ce crime, le meurtrier est cité devant la Cour de HENRI, roi des Romains, fils de l’Empereur FREDERIC, où il est condamné (par contumace) par le jugement des princes de l’Empire. Les châteaux et maisons du condamné sont rasés de fond en comble et ses biens confisqués. Lui-même, errant et fugitif, est banni de la compagnie des fidèles. Le hasard de sa fuite l’amène à Huy où, sous des habits de marchands, il espère échapper aux recherches de ses juges.

Mais, en 1226 (?), DE JENEFFE Baudouin a vent de sa retraite et s’empare de lui et de 2 de ses complices. Il le conduit, enchaîné, à Visé où il le remet au souverain avoué de Cologne et aux autres barons, qui le gratifient de 2.100 marcs. Ceux-ci ramènent D’ALTENA D’ISENBERG Frédéric à Cologne, lié sur un cheval, à travers les bourgs et les villages. Après avoir avoué son forfait, il supporte avec courage les supplices qu’il a mérité: on lui brise bras et jambes; il est ensuite exposé sur une haute potence; enfin, il est roué (la roue d’airain est dressée sur une colonne, hors de la porte Saint-Sevrin).