Les colombophiles de Borlez

En 1914, les membres de la Fédération Colombophile Belge à Borlez:

  • BOLLINNE Hubert
  • CHARLIER Félicien
  • CHOY Sylvain
  • COLPIN Camille
  • COLPIN Urbain
  • DELCHAMBRE Henri
  • DUBOIS Victor
  • DELHALLE
  • EUGENE Jules
  • FRAITURE Alexis
  • HALLET
  • JEANGETTE Alfred
  • MOREAU Paul
  • MARCHANDISE
  • MARNEFFE Ed.
  • PAQUAY V.
  • PIRON Armand
  • PIROTTE Armand
  • RACKMAN Th.
  • RENARD Victor

Les Archers Hesbignons (Bovenistier)

Vers 1970 (?), quelques membres de la société « Les Archers Hesbignons » de Bovenistier:

  • DELCOMMUNE J.M.
  • DENOMERANGE Céline
  • DORISSEN A.
  • DORISSEN F.
  • FRANTA Pierre
  • HACCOURT A.
  • HANSEN M.
  • HENROTTE Th.
  • JACOB Raymond
  • JAMINON Victor
  • LAHAYE D.
  • La famille MARCHANDISE (au complet)
  • OLIVIER J.P.
  • PIRON L.
  • RIGO Eliane
  • SCHEPMANS Ch.
  • SCHEPMANS F.
  • SCHOUBEN A.
  • SCHOUBEN L.
  • SOLLISMAN M.
  • La famille THEUNISSEN (pratiquement au complet)
  • TIQUET A.
  • TRIOMPHE Francine
  • VANDERVELDEN Daniel
  • VERMEULEN  J.

La Coopérative « La Justice » fait construire un bâtiment à Waremme

En 1902, la Coopérative « La Justice » fait construire un grand complexe rue Gustave Renier, à Waremme.

Ce complexe (situé au n° 70 actuel), comprend un magasin à céréales et des bureaux.

Le magasin à céréales se prolonge par une boulangerie industrielle, dont les deux grands fours ont une capacité de 200 pâtons chacun. Les pains cuits sont chargés sur de hauts chariots de bois, pour les amener dans un local voisin, au fond de la cour. C’est là que viennent s’approvisionner les camions tirés par des chevaux, pour aller livrer la marchandise dans les villages.

De l’autre côté de la cour se trouve un dépôt de charbon, alimenté par un raccordement au chemin de fer. On y charge le charbon à livrer à domicile, mais les particuliers peuvent également venir s’y approvisionner par petites quantités.

La population locale est prioritaire sur le marché de Waremme

Entre 1494 et 1560, lors du marché hebdomadaire du mardi, les « affoirains » (étrangers à la ville) ne peuvent procéder à leurs achats, avant que la population locale n’ait fini de s’approvisionner. La présence d’un bâton planté au milieu du marché matérialise cette interdiction. Il doit resté planté jusqu’à 9 heures du matin. Cette interdiction est appliquée sous peine d’amende ou de confiscation de la marchandise. Ce marché du mardi sera ensuite supprimé (date ?).