En 1939, MOSSOUX Léon est maréchal-ferrant, rue de Huy à Waremme.
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Mort de Henri Materne (Waremme – Oleye)
En 1933, l’ancien maréchal-ferrant de Waremme, MATERNE Henri, qui a exercé son activité rue de la Paix-Dieu à Oleye, décède à (?). Son fils, MATERNE Guillaume poursuit la maréchalerie.
Le maréchal-ferrant Henri Materne est primé (Oleye – Waremme)
Le 30 juin 1882, le maréchal-ferrant, MATERNE Henri, installé rue de la Paix-Dieu à Oleye, obtient le diplôme du 7ème prix, au concours de ferrure de Waremme, organisé par la Société Royale Agricole de l’Est de la Belgique.
Description de certaines professions exercées à Waremme au 18ème siècle
En 1763, quelques métiers de Waremme:
- Les faiseuses de bas à domicile: cette activité est réservée aux jeunes filles et aux jeunes enfants de 10 à 11 ans, qui travaillent près de 13 heures par jour.
- Le maréchal-ferrant: protégé d’un grand tablier de cuir, il assemble et répare les charrues et autres machines agricoles; il façonne les outils aratoires. Sa forge réveille le voisinage au son du marteau et de l’enclume.
- La charron: il assemble les roues qu’il fait ensuite cercler par le maréchal-ferrant. Il construit les charrettes. Les plus simples sont formées de deux maîtres brins, appelés timons, unis l’un à l’autre par plusieurs espars servant à soutenir le plancher qui sera posé et fixé sur un ou plusieurs essieux. Il réalise aussi des voitures légères à capote, de type « cabriolet », ainsi que des charrettes spéciales pour transports volumineux: de type « triqueballe » ou « fardier ».
- Le sellier ou bourrelier: il coupe le cuir et assembles les colliers de chevaux, les selles, les harnachements (oeillère, bracelet de brancard, guide, …), les fouets, …
- Le menuisier: à l’aide de scies, de varlopes, de rabots et de gouges, il transforme des arbres en meubles (armoires, garde-robes, lits, chaises, tables, …).
- Le charretier: Ils sont nombreux à exercer cette profession, car le seul moyen de transport est hippomobile. Ils connaissent bien les chevaux. Leur activité ne se limite pas au transport. Ils doivent savoir labourer, semer, charger et décharger les voitures, …
- Le tonnelier: il réalise des tonneaux, des seaux, des brocs, des bacs, … Il lui faut plus de quarante outils pour réaliser un tonneau. Tailler un tronc d’arbre, en faire des « merrains », les assembler pour en faire un volume creux.
- Le tisserand: Il tisse la laine. C’est en général un paysan qui essaye de compléter ses revenus par le travail dans le secteur textile. Il effectue ces travaux pendant l’hiver ou lorsque le temps l’empêche de travailler aux champs. Il possède un métier à tisser, achète la laine brut chez un marchand et lui revend le produit fini. Ce marchand les vendra dans son magasin. Le travail au rouet (étirage de la laine) est souvent confié aux femmes et aux enfants.
- La lavandière: elle lave le linge à la source, au ruisseau, à la rivière ou au lavoir. C’est une activité typiquement féminine. Le jour de la lessive est un évènement, car le linge est souvent accumulé plusieurs mois.
« Le Royal Agrément de la Pédale » de Waremme
Vers 1922, composent, notamment, le club de cycle-ball de la société waremmienne « Le Royal Agrément de la Pédale »:
- GONTHIER Richard
- YANS René
- BILLEN
- GILET Victor (maréchal-ferrant)
- LHOEST, dit « Badot »
- PIRSON Michel
- GOVAERTS Désiré, dit « Gueuguète »
Les professions exercées à Waremme
En 1906, les professions exercées à Waremme sont les suivantes :
- 4 agents d’assurances
- 6 peintres marchands de couleurs
- 5 arpenteurs
- 2 marchands d’engrais et de guano
- 11 bouchers et marchands de bestiaux
- 8 marchands de farine et de tourteau
- 9 boulangers-pâtissiers
- 2 marchands de fer
- 3 bourreliers
- 7 marchands de graine et semence
- 3 brasseurs
- 2 marchands de vélos
- 12 cabaretiers
- 3 maréchaux-ferrants
- 3 charrons
- 4 médecins
- 2 ciriers
- 6 menuisiers
- 4 coiffeurs-barbiers
- 2 meuniers
- 6 cordonniers
- 4 négociants en genièvre
- 9 cultivateurs
- 2 notaires
- 7 marchands de denrées coloniales
- 4 pharmaciens
- 3 gardes-champêtre
- 1 sage-femme
- 1 géomètre
- 3 serruriers-poëliers
- 1 greffier
- 2 siroperies
- 2 horlogers
- 2 sucreries
- 2 hôteliers
- 4 tailleurs
- 1 huissier
- 2 tanneurs
- 3 imprimeurs
- 2 taxis
- 3 titres de journaux
- 1 tonnelier
- 1 juge de paix
- 2 tourneurs en bois
- 2 maçons
- 1 vétérinaire
- 9 marchands d’aunage
- 3 vitriers
- 3 marchands de bois
- 1 vannier
- 2 marchands de bouchons
- 2 marchands de clous.
Les professions exercées à Waremme
En 1856, les professions exercées à Waremme sont les suivantes :
- 1 agent d’assurances
- 1 inspecteur cantonal d’enseignement primaire
- 1 agent des domaines
- 1 instituteur
- 1 arpenteur juré
- 1 jardinier
- 1 berger
- 64 journaliers
- 1 blatier
- 1 juge de paix
- 2 bouchers
- 11 maçons
- 2 boulangers
- 3 marchands
- 1 bourrelier
- 1 marchand de grains
- 2 brasseurs
- 4 maréchaux-ferrants
- 3 cabaretiers
- 5 médecins
- 5 charpentiers
- 16 menuisiers
- 1 charron
- 3 meuniers
- 1 chef de gare
- 16 négociants
- 1 cirier
- 3 notaires
- 1 clerc de notaire
- 1 orfèvre
- 1 commissaire de district
- 4 ouvriers SNCB
- 1 Cordonnier
- 1 peintre
- 1 cuisinière
- 3 pharmaciens
- 26 cultivateurs
- 1 receveur
- 6 cultivateurs
- 2 serruriers
- 1 employé SNCB
- 2 tanneurs
- 1 gendarme
- 1 tonnelier
- 1 greffier de paix
- 1 vétérinaire
- 1 huissier
- 1 vitrier
- 1 ingénieur civil
Professions exercées par les hommes à Waremme
En 1763, les professions exercées par les hommes sont les suivantes :
- 1 apothicaire
- 1 huissier
- 1 barbier
- 1 jardinier
- 7 bergers
- 57 journaliers
- 15 boutiquiers
- 2 maréchaux-ferrants
- 3 brasseurs
- 1 médecin
- 4 cabaretiers
- 16 menuisiers
- 8 Charretiers
- 2 meuniers
- 3 charrons
- 2 porchers
- 1 chirurgien
- 2 selliers
- 1 cordonnier
- 6 tailleurs
- 1 couvreur de toits
- 19 tisserands
- 12 cultivateurs
- 3 tonneliers
- 6 domestiques
- 1 tourneur en bois
- 8 domestiques de ferme
- 2 vitriers
- 1 faiseur de corde
En 1763, les journaliers et journalières waremmiens sont 143. Ils représentent 41,5% des travailleurs. Lorsqu’on parle de journalier, on entend traditionnellement l’ouvrier agricole à qui on confie les petits emplois les moins bien payés. Mais à Waremme, il n’y a que 12 cultivateurs recensés, qui ne peuvent employer une telle quantité de main d’œuvre. En fait, le journalier est un ouvrier payé à la journée dans n’importe quel domaine, sans attache avec un employeur particulier. Souvent sans qualification, il est d’une grande mobilité professionnelle. La plus grande partie des journaliers travaillent à domicile, chez un autre journalier disposant d’un plus grand local ou même dans une sorte d’atelier public, mis à sa disposition par un fabricant. Les journaliers louent leurs services au gré des demandes et des saisons. Ces journaliers « travailleurs à domicile » n’exécutent que la fonction technique, la fonction économique reste l’apanage du marchand dont ils dépendent pour obtenir les matières premières et les commandes. Ils sont donc économiquement subordonnés à ce marchand.
Alexis Massin, maréchal-ferrant (Waremme – Bleret)
Le 17 janvier 1883, MASSIN Alexis, maréchal-ferrant à Bleret, reçoit le diplôme attestant le suivi du cycle de conférences publiques de « Maréchalerie » institué par le gouvernement.
Son épouse est VANHERCK Mathilde, sœur de VANHERCK Jules qui sera professeur à l’Ecole Moyenne de Waremme.