En 1663, le revenu fixe du marguillier de Hodeige s’élève à 8 muids (outre ce revenu, il jouit d’un casuel ou revenu provenant des droits d’enterrement, de mariage, …)
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Intervention des paroissiens (Hodeige)
En 1595, les paroissiens de Hodeige interviennent également, avec le curé de la paroisse, dans l’élection du marguillier.
Le marguillier de Hodeige
Avant 1595, la marguillerie de Hodeige est à la collation du curé de la paroisse. Celui-ci a le droit de révoquer le marguillier, chaque année, 6 semaines avant la Saint-Jean, temps auquel le marguillier doit remettre aux mains du curé le livre de la marguillerie renfermant les rentes dues à ce sujet.
Le marguillier doit avoir une conduite irréprochable. Il ne doit jamais passer devant l’autel de l’église sans faire une génuflexion d’un genou (quand le Saint-Sacrement n’est pas exposé) et de deux genoux (quand il est exposé). Il doit toujours être propre lorsqu’il assiste aux offices; avoir nettoyé l’église et les autels la veille des solennités et le choeur tous les samedis. Il veille à remettre les ornements et à replier les surplis et aubes après qu’on s’en est servi. Il lui incombe aussi le soin des cloches, d’ouvrir et de fermer les portes de l’église et du cimetière. Il doit savoir parfaitement son chant et chercher les offices. Il doit accompagner le pasteur ou son vicaire dans la visite des malades, tant la nuit que le jour, quand il en est requis. Enfin, il doit porter beaucoup de respect aux ecclésiastiques de la paroisse.
Convention sur le Bénéfice de Saint-Erasme (Hodeige)
Le 17 août 1756, il est convenu entre le Bénéficier MARICK et le curé de Hodeige que, dorénavant, le premier abandonnera au second 1 muid d’épeautre qu’on lui doit à Hodeige, pour le Bénéfice, fondé en l’honneur de Saint-Erasme, de Saint-Pierre et de Saint-Quirin en l’église du village, à condition de célébrer les 12 messes annuelles dont le Bénéfice est chargé, et d’acquitter 33 sous à la sacristie et 16 sous au marguillier.
Edgard Dans, marguillier (Remicourt)
Vers 1928, le marguillier de Remicourt est DANS Edgard.
Médard de Nomerenge, marguillier (Crisnée)
En 1712, DE NOMERENGE (DE NOMBRENGE ?) Médard est marguillier à Crisnée.
Boëlhe en 1855
Vers 1855, il y a 410 habitants et 70 habitations à Boëlhe.
On recense dans le village:
- Bergers: 2
- Blatiers + ouvrier blatier: 2 + 1
- Boucher: 1
- Cabaretiers: 5
- Censiers importants: 3
- Chantre, clerc, marguillier: 1
- Charpentiers: 2
- Charrons: 2
- Cordonniers + ouvriers cordonniers: 2 + 2
- Couturières: 5
- Cultivateurs (- 10 ha): 31
- Curé ou prêtre desservant: 1
- Domestiques, journaliers, servantes: 67
- Employé dans les Services Publics: 1
- Fabricant de tabac à priser: 1
- Garde-champêtre: 1
- Instituteur: 1
- Jardinier: 1
- Juge de Paix: 1
- Lingères: 2
- Marchands de bestiaux: 4
- Maréchal-ferrants + ouvriers maréchal-ferrants: 2 + 7
- Maréchal-Vétérinaire: 1
- Menuisiers: 7
- Négociant en denrées alimentaires: 1
- Paveur et maçon: 1
- Régisseur d’établissement agricole: 1
- Rentiers propriétaires: 3
- Sabotier: 1
- Sage-femmes: 3
- Scieurs en long: 7
- Sans profession déclarée: 237
Naissance de Michel Billen (Opheers – Oreye)
Le 28 décembre 1885, BILLEN Michel voit le jour à Opheers. Il épousera LEUNEN Christine. Il sera surveillant de nuit de la Sucrerie Notre-Dame et de ses dépendances. Il sera marguillier et organiste à l’église d’Oreye. Il donnra des cours de piano.