Le 8 février 1552, DE HEMRICOURT Raës épouse DELNEUVILLE Sibille, dite « de Longchamps ».
Le père du marié est DE HEMRICOURT Rigalt. Le père de la mariée est DELNEUVILLE Fastré, dit « de Longchamps ».
Le 8 février 1552, DE HEMRICOURT Raës épouse DELNEUVILLE Sibille, dite « de Longchamps ».
Le père du marié est DE HEMRICOURT Rigalt. Le père de la mariée est DELNEUVILLE Fastré, dit « de Longchamps ».
Le 20 janvier 1590, l’écuyer DE BLEHEN Renard épouse DE JAYMAERT Elisabeth.
Le marié est le fils de DE BLEHEN (DE BLEHEM) Godefroid, d’abée, et de DE MARNEFFE Josinne. La mariée est la soeur de DE JAYMART Jean, dit « de Moege ».
Le 15 octobre 1445, devant la Cour de Justice de Lantremange, jugeant à la « Loi de Liège », DE LIERIWE Heluid (Helwy), veuve de l’écuyer LEBEAU Jean, et DE SAIVE Jean, mari de LEBEAU (LEBEAL) Isabelle, soeur de LEBEAU Guillaume, assignent à l’Aumône de la Cathédrale 8 muids d’épeautre sur les terres de la dîme de Lute, dite « Les Engiers », à Lantremange.
La Cour de Justice de Lantremange est composée de:
Le 22 mai 1440, Damoiselle DE LIERIWE Heluid relève (fait relief) les Seigneuries de Hemricourt et de Lantremange, suite au décès de son mari, l’écuyer LEBEAU (LIBEAL) Jean.
Le 7 janvier 1368, DE LATINNE Catherine décède à (?). Son mari veuf est DE HEMRICOURT Raës, dit « de Lamine ». Ils n’ont pas d’enfant.
En 1310, DE JENEFFE Marie est la fille du chevalier DE JENEFFE Libert « Butor » et de son épouse Marie (décédée en 1279). Elle est l’épouse de DE CLERMONT Jacques.
Le 30 novembre 1279, DE JENEFFE (?) Marie (Maroie ?) décède à (?). Elle était l’épouse du chevalier DE JENEFFE Libert, dit « Butor ».
Elle sera inhumée dans l’église de Jeneffe.
Sa dalle funéraire la représente vêtue d’une tunique sans ceinture, retombant en longs plis jusqu’aux pieds. Ses mains sont jointes en prière, présentées de 3/4 et non de profil. Un long manteau descend de ses épaules. Il est doublé de fourrure. La tête est couverte d’un voile qui descend jusqu’aux épaules.
La figure est placée sous un portique au dessin bien construit. Une arcade ogivale, qui s’inscrit dans un triangle équilatéral, repose sur deux colonnes engagées. L’intrados en est divisé en trois lobes, tandis que son extrados est chargé d’un gâble aux rampants ornés de crochets et se terminant par un fleuron.Le gâble est orné d’une rosace inscrivant un quadrilobe. Les rampants du gâble se terminent latéralement par un profil de retour, derrière lequel émergent de hauts pinacles.
L’inscription est gravée, entre deux filets pleins, en onciales, les mots séparés par des points. La gravure du texte est plus profonde que celle de la figure et du portique:
« LAN . DEL / INCARNATION . NOSTRE . SANGNOR . M . CC . LXXIX / II . KL . DE . DECEMB / RE . MORUT . DAME . MAROIE . DAME . DE . GENEFFE . FEMME . SANGNOR . BUTOR »
A la mort de D’AWIR Agnès, son mari veuf, DE WARFUSEE Libert Sureal, est inconsolable et pense à la mort. Il va, néanmoins, trouver la consolation avec l’aide de ses amis et de sa fille, DE WARFUSEE Alix, qu’il chérit tendrement.
Il renonce à la profession des armes et fait vœu de devenir prêtre, afin consacrer le reste de ses jours à prier pour l’âme de sa femme.
Il réalise ce vœu et est ordonné prêtre. Il va célébrer la messe, tous les jours, dans la chapelle de son château de Warfusée et dans d’autres maisons de la région.
Le 25 mars 1903, LEBEAU Marie-Dieudonnée-Julie décède à Grand-Axhe (?). Son mari veuf est CLAES Henri-Gustave, journalier.
Le 26 avril 1904, NOSSENT Marie-Catherine-Apolonie décède à Lantremange. Son mari veuf est STOUVENACKERS Désiré-Joseph, marchands de cochons.