Fin 1961, JEANDARME Norbert, natif de Marlinne, passe dans la catégorie « Amateurs » et remporte 5 victoires, dont une à Grandville.
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Norbert Jeandarme, cycliste (Marlinne)
En 1961, le coureur cycliste JEANDARME Norbert, natif de Marlinne, entre dans la catégorie « Non licenciés ».
Naissance de Norbert Jeandarme (Marlinne)
Le 11 janvier 1944, JEANDARME Norbert voit le jour à Marlinne. Il sera coureur cycliste.
Naissance de Joseph Cologne (Marlinne – Waremme)
Le 24 mars 1908, COLOGNE Joseph voit le jour à Marlinne (Mechelen – Bovelingen). Il habitera à Waremme. Il sera coureur cycliste.
Mort de Joséphine Aerts (Waremme – Marlinnes)
Le 9 septembre 1940, AERTS Joséphine décède à Waremme. Elle était native de Marlinnes. Son mari veuf est GRAMME Valentin.
Les Compagnies du Groupe « Otarie » (Waremme – Hannut)
En 1944, le Groupe « Otarie » regroupe environ 600 hommes, répartis en 4 Compagnies:
- la Compagnie 419, commandée par le lieutenant LEBURTON Edmond, composée principalement de Waremmiens;
- la Compagnie 420, commandée par le lieutenant CARTUYVELS Alfred, composée principalement de Hannutois;
- la Compagnie 423, commandée par le lieutenant SIMON François, composée principalement de Flamands de Heers – Marlinne;
- la Compagnie « Etat-Major ».
Il faut y ajouter la cinquantaine de gendarmes, commandés pat le lieutenant JAMAR Ambroise.
Création de la Fabrique Centrale de Waremme
En 1870, la Société d’Agriculture Industrielle installe en bordure du chemin de fer, à l’extrémité de l’actuelle rue Gustave Renier, « la Fabrique (Sucrerie ?) Centrale de Waremme ». Cet établissement sucrier est le cœur d’un réseau de six râperies régionales:
- Bergilers,
- Lens-Saint-Remy,
- Marlinne,
- Viemme,
- Tongres
- Warnant-Dreye
Ces râperies extraient le jus des betteraves et l’expédient par canalisations souterraines à l’établissement de Waremme. Il transforme ce jus en sucre cristallisé.
Le réseau de « pipelines » s’étend sur plus de 100 kilomètres.
Le Premier Concordat (France – Vatican)
Le 15 juillet 1801, le Premier Concordat est signé entre le Premier Consul BONAPARTE et le Pape PIE VII, il règle les rapports entre l’Eglise et l’Etat.
Il vient mettre un terme à toutes les tracasseries des autorités républicaines et le culte peut, à nouveau, s’exercer librement. Cependant, le clergé est placé sous la surveillance du pouvoir civil : les Evêques sont nommés par l’Empereur ; les curés sont nommés par l’Evêque parmi les personnes agréées par le gouvernement. Ils doivent prêter serment de fidélité et d’obéissance au gouvernement. Chaque commune est autorisée à reprendre les cloches qui avaient été retirées des églises en 1797. Celles du canton de Waremme avaient été stockées dans l’ancien couvent des Récollets, notamment, parmi les plus anciennes, une cloche de 1353 de l’église paroissiale Saint-Pierre, une de 1314 du village de Marlinne, une autre de 1371 du village de Bleret.
La nouvelle organisation de l’Eglise est copiée sur celle de l’administration civile:
- Chaque diocèse doit correspondre à un département.
- Chaque doyenné doit correspondre à un canton.
- Chaque paroisse doit correspondre à une commune.
C’est ainsi qu’une ou deux paroisses sur trois est supprimée et est rattachée comme « chapellenie » à une paroisse voisine.
Certaines dénominations changent:
- Le doyenné devient cure.
- Le doyen devient curé.
- La paroisse devient succursale.
- Le curé devient desservant.
Le Concordat va ramener la paix religieuse dans la région de Waremme et apaiser les consciences. Toutefois, les biens de l’Eglise, qui ont été confisqués et vendus, ne lui sont pas restitués.
(Un certain nombre d’acquéreurs de ces biens sont des citadins de Liège)