Le 20 septembre 2025, au matin, MEDART Stéphanie, de Geer, découvre sa basse-cour massacrée par un chien (une dizaine de poules, 2 canards et 1 jars).
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La victoire d’Aduatica va entraîner la fin des Eburons
Vers – 54 ACN, le Roi des Eburons, AMBIORIX, rassemble différentes tribus et écrase les Romains à Aduatica. CESAR, furieux, ordonne à ses légions de ravager l’Eburonie, avec la consigne de massacrer impitoyablement toute le race.
D’autres peuplades remplaceront les Eburons:
- les Béthasiens
- les Suniques
- les Taxandres
- les Tongrois
Tuerie à Berloz
En 1312, le châtelain de Waremme s’empare du château de Berloz. Il massacre le Seigneur du lieu et plusieurs habitants du village qui y ont trouvé refuge.
Le mambour de Liège (dignitaire élu qui remplace le Prince-Evêque décédé en attendant l’élection d’un successeur) considère qu’il s’agit d’un crime capital.
Baudouin 1er de Jeneffe retrouve et arrête un meurtrier
Le 7 novembre 1225, le Comte D’ALTENA D’ISENBERG Frédéric, seigneur de Nienbrugge, avec une bande de ses gens, massacre lâchement, dans un guet-apens, au milieu d’un voyage, son cousin DE BERGHES Englebert, archevêque de Cologne.
Pour ce crime, le meurtrier est cité devant la Cour de HENRI, roi des Romains, fils de l’Empereur FREDERIC, où il est condamné (par contumace) par le jugement des princes de l’Empire. Les châteaux et maisons du condamné sont rasés de fond en comble et ses biens confisqués. Lui-même, errant et fugitif, est banni de la compagnie des fidèles. Le hasard de sa fuite l’amène à Huy où, sous des habits de marchands, il espère échapper aux recherches de ses juges.
Mais, en 1226 (?), DE JENEFFE Baudouin a vent de sa retraite et s’empare de lui et de 2 de ses complices. Il le conduit, enchaîné, à Visé où il le remet au souverain avoué de Cologne et aux autres barons, qui le gratifient de 2.100 marcs. Ceux-ci ramènent D’ALTENA D’ISENBERG Frédéric à Cologne, lié sur un cheval, à travers les bourgs et les villages. Après avoir avoué son forfait, il supporte avec courage les supplices qu’il a mérité: on lui brise bras et jambes; il est ensuite exposé sur une haute potence; enfin, il est roué (la roue d’airain est dressée sur une colonne, hors de la porte Saint-Sevrin).
Tamerlan prend Bagdad
Désastre de la Croisade de Pierre l’Hermite
En août 1096, le prédicateur PIERRE L’HERMITE répond à l’appel du Pape URBAIN II et prend la tête d’une armée désorganisée de chevaliers et de paysans.
Des dissensions apparaissent rapidement dans cette armée. Elle sera mise en déroute et massacrée, bien avant d’atteindre Jérusalem.
La bataille d’Othée
Le 23 septembre 1408
En 1406, les opposants à l’élu de Liège DE BAVIERE Jean, surnommés les hédroits, provoquent le départ du Prince. Ils nomment DE PERWEZ Henri mambour de la Principauté et portent le fils de ce dernier, DE PERWEZ Thierry, sur le trône épiscopal. Les beau-frère et frère de DE BAVIERE Jean, le Duc DE BOURGOGNE SANS PEUR Jean et le Comte DE HAINAUT Guillaume, volent au secours du Prince déchu, pour lui rendre le trône épiscopal liégeois.
Depuis 1378, Avignon et Rome ont chacune un Pape. Tandis que Rome soutient DE BAVIERE Jean, Avignon supporte les prétentions de DE PERWEZ Thierry, au siège de Saint-Lambert.
Les forces sont disproportionnées. D’un côté 5 à 6000 communiers liégeois et hutois, renforcés par 500 hommes d’armes à cheval (nobles et notables du pays) et par une centaine d’archers mercenaires anglais commandés par DE PERWEZ Henri. De l’autre, les armées de Bourgogne et de Hainaut, soit 5000 hommes d’armes, dont 3000 cavaliers et un millier d’archers anglais.
Le combat s’achève par la défaite des Liégeois et leur massacre. DE PERWEZ Henri et DE PERWEZ Thierry succombent dans cette boucherie qui fait quelque 8.000 morts. Non contents du carnage opéré sur place, les vainqueurs vont ensuite se livrer à une répression effroyable de la population vaincue: les troupes de DE BOURGOGNE Jean, dit « Jean sans Peur », précipitent des femmes et des ecclésiastiques dans la Meuse, depuis le pont des Arches.
DE BAVIERE Jean peut, dès lors, exercer un pouvoir illimité. La Principauté va perdre une grande part de son indépendance (privation des franchises, amendes énormes à acquitter, …)
Le Massacre de Srebrenica (Bosnie – Serbie)
Massacre à Oradour-sur-Glane (France – Allemagne)
Le 10 juin 1944, les Allemands massacrent la population entière du village d’Oradour-sur-Glane.
Le massacre de la Saint-Barthélemy (France)
La nuit du 23 au 24 août 1572, DE MEDICIS Catherine déclenche le massacre de la « Saint-Barthélemy »; les Catholiques font exploser leur haine contre les Protestants Au son du tocsin de Saint-Germain l’Auxerroy, l’amiral DE COLIGNY Gaspard est la première victime des sbires de DE GUISE. L’élite protestante parisienne va être massacrée.
Peu de Huguenots échappent au bain de sang, tant à Paris que dans les principales villes de province. Dans la capitale, seuls DE NAVARRE Henri et le Prince DE CONDE en réchappent. Entre 20.000 et 30.000 âmes disparaîtront dans ce massacre qui durera une petite semaine.
Quand DE MEDICIS Catherine s’est rendue compte que son plan de réconciliation a échoué, elle a conseillé à son fils, le Roi de France CHARLES IX, s’il voulait garder son trône, d’éliminer tous les dirigeants protestants.