Vente de matériel (Oreye)

En mars 2016, la commune d’Oreye vend, aux enchères, du matériel du Service de la Voirie. Il s’agit de divers éléments, toujours fonctionnels, mais qui ne sont plus utilisés par le personnel.

Léon Berger, gravement blessé (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe, rue Joseph Wauters, devant le Café « Aux Sports », BERGER Léon est étendu le long du parterre de fleurs qui entoure le Monument aux Morts de 1914 – 1918, de la Place du Roi Albert 1er. Son visage est tourné vers le ciel. Il est immobile, le yeux mi-clos. Une mare de sang se répand sous sa tête. Il respire faiblement.

BRONCKAERS Marcel et VRANKEN Marie-Louise le conduisent chez le docteur HONLET, rue Joseph Wauters. Tout le matériel du médecin étant brisé, il conseille de la transporter à la Clinique Notre-Dame, toute proche.

L’Ecole de Plongée (Waremme)

En 2012, le conseil d’administration de l’ASBL « Maaramu – Ecole de plongée de Waremme » est composé de:

  • DELFOSSE Philippe, président
  • SINISTRI Jean-Marie, chef d’école
  • DESWIJSEN Virginie, secrétaire
  • LAMBERMONT Alain, trésorier
  • WILMART Jean-Luc, responsable matériel
  • CABEZAS Philippe, responsable sorties-club
  • SINISTRI Lina, responsable animations
  • MORIN Albert, président d’honneur (ex-président)

Des jeunes Waremmiens au Niger

En novembre 1988, le ministre de la défense et bourgmestre de Waremme, COEME Guy, décide de faire découvrir un pays sahélien à de jeunes belges. Cette opération s’intègre dans le cadre de l’aide humanitaire de la Belgique et plus particulièrement du ministère de la défense nationale aux pays en voie de développement.

24 adolescents: 10 anciens conseillers communaux de Waremme, 10 jeunes d’une école louvaniste et 4 de la commune d’Evère s’envolent pour le Niger, à bord de 2 C-130 transportants également des médicaments et du matériel.

Le matériel de Radio Hesbaye retrouvé (Faimes)

Le 14 avril 1982, le matériel, volé à la fin du mois de mars à Radio Hesbaye, est retrouvé par un agriculteur de Faimes, en bordure de son champs.

Vol à Radio Hesbaye (Waremme – Borlez)

Le 29 mars 1982, du matériel pour une valeur de près de 100.000 francs est dérobé dans les locaux de Radio Hesbaye, rue Albert 1er à Borlez.

Les cambrioleurs laissent sur place un message stipulant que si les animateurs de la radio veulent rentrer en possession de leur bien, ils doivent verser une rançon de 200.000 francs et faire des excuses au peuple zaïrois, faisant allusion à une cassette, traitant avec humour l’accent zaïrois, qui a été diffusée à plusieurs reprises sur antenne.

Vol à la voirie (Waremme)

Le 25 mars 2014, dans la nuit, des malfrats s’introduisent dans les locaux du service de la voirie de la ville de Waremme, situés rue Sous-le-Château, et y dérobent du matériel pour un montant estimé à 50.000 euros.

Le chef du service de la voirie est SARTOR Joseph.

Un clocher foudroyé (Waremme – Bovenistier)

En juin 1985, la foudre s’abat sur le clocher de l’église Saint-Vincent de Bovenistier, qui s’embrase immédiatement. Les pompiers de Waremme appellent ceux d’Hannut en renfort, afin de disposer d’un maximum de matériel, pour pouvoir attaquer le feu de plusieurs côtés à la fois et protéger le corps de l’église. Les dégâts s’élèvent à plusieurs centaines de milliers de francs.

L’église a été construite en 1870.

Le remembrement agricole (Belgique)

Vers 1980, le remembrement agricole sonne le glas pour toutes les petites exploitations qui n’ont pas les surfaces cultivables indispensables pour investir dans du matériel performant.

Ce remembrement a pour effet l’aménagement du territoire en parcelles de terrain moins nombreuses, mais plus grandes et d’un accès plus facile. Il nécessite la création de nouvelles voiries pour desservir les nouveaux lots: les chemins de remembrement.

Remise en ordre à Waremme

Fin mai 1940, c’est la remise en ordre à Waremme.

Le central téléphonique, à gauche de l’entrée de la gare, pillé par les évacués, est remis en ordre par les « Landser » des chemins de fer, habillés en bleu.

Il faut aussi rétablir les voies, car déjà y poussent herbes et orties. Dans le bâtiment des marchandises se trouve un coffre-fort. L’occupant a tenté de l’éventrer à la masse, longtemps … Il ne contenait que des timbres du chemin de fer …

L’organisation Todt récupère le matériel, surtout militaire, dispersé dans les villages des environs, notamment des canons égueulés (par les nôtres). Ces objets sont entreposés dans la gare où des prisonniers de guerre font le tri, avant d’être envoyés derrière les barbelés.

Des organisations charitables voient le jour. On crée l’A.R.F.E.G. (Aide et Reconstruction des Foyers Eprouvés par la Guerre). Les meubles des sinistrés sont regroupés en dépôt, rue Sous-le-Château, par des jeunes porteurs d’un brassard de couleur vert pâle. Un bureau pour les réfugiés est également ouvert. La Croix-Rouge accueille d’abord une vingtaine de personnes.