Les décanteurs de Hollogne-sur-Geer

Depuis fin 2011, le site des décanteurs de Hollogne-sur-Geer est la propriété de la société « Hesbaye Frost » et est géré par NATAGORA.

Initialement, il a été aménagé pour décanter les eaux de lavage des betteraves sucrières traitées par la râperie de Hollogne-sur-Geer (qui a été active jusqu’en janvier 2009). 16 bassins de différentes dimensions ont été creusés en 2 zones couvrant 41 hectares. Au fil des années, les différentes retenues se sont comblées et ont formé une mosaïque d’étangs de profondeur variable et de friches plus ou moins humides. On peut y trouver une roselière à phragmites et massettes, ainsi que des saulaies. Bien que situé non loin du village, le site est entouré de champs, de prairies et de peupleraies. Il constitue un refuge idéal pour les oiseaux, dont on y a recensé plus de 350 espèces.

Cependant, l’arrêt des activités de la râperie entraîne un déséquilibre des bassins. La circulation des eaux de lavage des betteraves est interrompue, diminuant d’une part les ressources alimentaires provenant des matières organiques et asséchant d’autre part certains bassins, qui tendent à se reboiser rapidement. Le site est réellement mis en péril.

En septembre 2011, une solution apparaît pour la sauvegarde du site ornithologique. le nouveau propriétaire et NATAGORA se lancent dans une vaste opération pour préserver les 33 hectares de cette oasis hesbignonne.Une partie des bassins, à haute valeur écologique,

La « nouvelle » station d’épuration (Waremme)

Le 24 septembre 1982, les responsables communaux de Waremme vsitent les nouvelles installations de la station d’épuration de Waremme.

Mise en service en 1959, la décision de la moderniser a été prise en 1980.

2.000 heures d’étude, 5.000 heures de travaux mécaniques et électriques et 6.700 heures de travaux de voirie et de maçonnerie ont été nécessaires pour réaliser ce projet, qui aura coûté 30.000.000 de francs belges.

La société chargée des travaux a dû faire face à trois problèmes particuliers:

  • le nature de terrain où est implantée la station d’épuration
  • la présence d’une quantité importante d’eau résiduelle
  • le pourcentage élevé de matières organiques provenant des rejets de l’abattoir