Professions exercées par les hommes à Waremme

En 1763, les professions exercées par les hommes sont les suivantes :

  • 1 apothicaire
  • 1 huissier
  • 1 barbier
  • 1 jardinier
  • 7 bergers
  • 57 journaliers
  • 15 boutiquiers
  • 2 maréchaux-ferrants
  • 3 brasseurs
  • 1 médecin
  • 4 cabaretiers
  • 16 menuisiers
  • 8 Charretiers
  • 2 meuniers
  • 3 charrons
  • 2 porchers
  • 1 chirurgien
  • 2 selliers
  • 1 cordonnier
  • 6 tailleurs
  • 1 couvreur de toits
  • 19 tisserands
  • 12 cultivateurs
  • 3 tonneliers
  • 6 domestiques
  • 1 tourneur en bois
  • 8 domestiques de ferme
  • 2 vitriers
  • 1 faiseur de corde

En 1763, les journaliers et journalières waremmiens sont 143. Ils représentent 41,5% des travailleurs. Lorsqu’on parle de journalier, on entend traditionnellement l’ouvrier agricole à qui on confie les petits emplois les moins bien payés. Mais à Waremme, il n’y a que 12 cultivateurs recensés, qui ne peuvent employer une telle quantité de main d’œuvre. En fait, le journalier est un ouvrier payé à la journée dans n’importe quel domaine, sans attache avec un employeur particulier. Souvent sans qualification, il est d’une grande mobilité professionnelle. La plus grande partie des journaliers travaillent à domicile, chez un autre journalier disposant d’un plus grand local ou même dans une sorte d’atelier public, mis à sa disposition par un fabricant. Les journaliers louent leurs services au gré des demandes et des saisons. Ces journaliers « travailleurs à domicile » n’exécutent que la fonction technique, la fonction économique reste l’apanage du marchand dont ils dépendent pour obtenir les matières premières et les commandes. Ils sont donc économiquement subordonnés à ce marchand.

Mort d’Henri Vanhaeren (Waremme)

Le 5 novembre 2003, le corps de VANHAEREN Henri est retrouvé sans vie, dans son appartement à Waremme. Le médecin appelé sur les lieux rédige le certificat de décès en concluant à une mort naturelle par crise cardiaque.

Constitution de la SCPRL « Vincent Blairvacq » à Waremme

Le 2 février 2000, le docteur en médecine, BLAIRVACQ Vincent, constitue la SCPRL « Vincent Blairvacq », dont le siège est situé au n° 73 de la rue Georges César à Waremme.

Mariage de Bruno Donni et de Véronique David (Waremme – Saint-Trond)

Le 16 octobre 1982, le médecin de Waremme, DONNI Bruno épouse DAVID Véronique, native de Saint-Trond.

Création de « Médecins Sans Frontières » (France)

bernard kouchner

bernard kouchner

En décembre 1971, le médecin français, KOUCHNER Bernard, est co-fondateur de l’organisation non-gouvernementale « Médecins sans Frontières ».

René Verdin, médecin des pompiers de Waremme

Le 16 septembre 1955, le conseil communal de Waremme nomme le Docteur VERDIN René en qualité de sous-lieutenant médecin du service d’incendie de la ville. Il occupe(ra) la villa que le docteur EVRARD René à fait construire à l’angle de la rue de Huy et de l’avenue de la Résistance.

Le Groupe Zoro tente de délivrer Paul Fremder (Waremme – Allemagne)

Le 9 (10?) décembre 1943 1942 ?), les Résistants du « groupe Zoro » de DERWA Arthur, sous la direction de GATHY Armand (alias Aramis), décident de s’introduire dans la Clinique Joseph Wauters pour libérer un des leurs, FREMDER Pol (alias Pol Thonon), où il est soigné, de la blessure reçue lors de son arrestation.

Le docteur EVRARD, directeur de la clinique, fournit les renseignements utiles et les tabliers blancs que revêtiront les Résistants qui participe à l’opération.

Une fusillade éclate entre le commando et les gardiens du prisonnier. FREMDER Paul sort du lit pour rejoindre ses compagnons, mais il est abattu par un de ses gardiens allemands d’une rafale de mitraillette. Les Résistants battent en retraite.

Les Juifs de Belgique doivent porter l’Etoile de David (Allemagne)

étoile de david

étoile de david

Le 27 mai (3 juin ?) 1942, dans toute la Belgique, les Juifs de plus de 6 ans reçoivent l’ordre du commandement militaire allemand, de porter, sur le côté gauche de la poitrine, l’étoile de David, d’un diamètre de dix centimètres.

De plus, ils ne peuvent plus exercer les professions de médecin, de vétérinaire, de sage-femme, de pharmacien et de droguiste. Enfin, il leur est interdit de circuler en rue, entre 20 heures et sept heures du matin.