Le mercredi de la Pentecôte 1767, une messe est célébrée pour les membres défunts de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme.
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Nicolas Boux, prémissaire (Waremme)
En 1755, BOUX Nicolas est nommé prémissaire (prêtre chargé de dire la première messe) et maître d’école de Waremme. Il le restera jusqu’en 1765, date de son décès.
Mort de Richard Delthour (Waremme)
Le 27 avril 1732 l’abbé DELTHOUR Richard du couvent des Récollets de Waremme, curé prémissaire (prêtre chargé de dire la première messe) et maître d’école de Waremme, décède à (?), à l’âge de 32 ans. Il est remplacé par FRERARD Toussaint-Philippe.
Il sera inhumé dans l’église Saint-Pierre de Waremme.
L’abbé Minet démissionne (Waremme)
En 1727, le prémissaire de l’église Saint-Pierre de Waremme (prêtre chargé de dire la première messe) et maître d’école, le Révérend Père MINET Laurent du couvent des Récollets de Waremme, démissionne.
François Stéphani, prémissaire (Waremme)
En 1665, STEPHANI François est nommé prémissaire (prêtre chargé de dire la première messe) et maître d’école de Waremme. Il sera encore en fonction en 1711.
Guillaume Froidbise, prémissaire (Waremme)
Entre 1632 et 1635, FROIDBISE Guillaume est prémissaire (prêtre chargé de dire la première messe) et maître d’école de Waremme. Son oncle, du même nom a été curé de Waremme entre 1589 et 1627.
Guillaume de Lamotte, prémissaire (Waremme)
En 1623, DE LAMOTTE Guillaume est prémissaire (prêtre chargé de dire la première messe) et maître d’école. Il a succédé à DONCEEL Robert.
Jean de Lamotte, prémissaire (Waremme)
En 1595, l’abbé DE LAMOTTE Jean est prémissaire (prêtre chargé de dire la première messe) et maître d’école de Waremme.
La dîme de Waremme
Le 9 novembre 1230, Pierre, Evêque d’Albanie et Légat du Pape, décide que le produit de la dîme de Waremme sera distribué à ceux des 10 chanoines de Saint-Lambert qui assisteront avec assiduité aux Heures Canoniales. Les Heures Canoniales sont des offices liturgiques qui sont consacrés à la prière, en plus de la messe quotidienne : les matines (ou vigiles) dans la nuit, les laudes à l’aurore, la prime à la première heure du jour, la tierce à la troisième heure du jour, la sexte à la sixième heure du jour, la none à la neuvième heure du jour, les Vêpres le soir et les Complies avant le coucher.
Baptème de Clovis et progression du christianisme (Gaule)
Pendant son long règne, CLOVIS étend sa domination sur une grande partie de la Gaule. L’évangélisation de la Hesbaye prend un nouvel essor après son baptême par SAINT-REMI, le 25 décembre 496. CLOVIS devient le protecteur de la foi catholique. Des catéchistes itinérants élèvent des oratoires en différents lieux de la Gaule : Neustrie, en Austrasie et, plus que probablement à Waremme. Ces oratoires, où des prêtres célèbrent la messe, sont souvent construits par les grands propriétaires dans leur domaine. Ils vont se multiplier et devenir peu à peu des églises paroissiales.
Pendant le règne de CLOVIS, la région passe aux mains de BOIDENT, premier Comte de Tongres et Marquis de Hesbaye. Il serait le fils du Duc D’ARDENNE Henri et d’AYLIS, la sœur de CLOVIS. BOIDENT décide de rebâtir les villes détruites par les Huns.