Le 19 décembre 1878, LISMONDE Lambert prend des mesures au château de Longchamps, pour faire des chambres au-dessus de l’écurie.
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Des élèves indisciplinés (Remicourt)
Le 20 janvier 1941, le Conseil Communal de Remicourt décide de s’informer auprès de l’instituteur en chef, PETITJEAN Hector, afin de connaître les mesures qu’il pourrait éventuellement prendre à l’égard des petits LEBEAU Alfred et PEULEN (?), particulièrement indisciplinés, grossiers, perturbateurs, …, qui n’hésitent pas à lacérer les mallettes en cuir (un matériau rare et cher) de leurs condisciples.
Rapport de Joseph Wauters (Waremme – Belgique)
Le 30 mai 1916, le Waremmien WAUTERS Joseph rédige le rapport du Parti Ouvrier Belge (P.O.B.), adressé au Comité National de Secours, qui préconise des mesures à prendre de nature à assurer l’alimentation publique, en prévenant la fraude et en réduisant l’accaparement et le trafic de la spéculation.
La section agricole de la Fédération Catholique de Huy-Waremme
En avril 1932, la « Section Agricole » de la Fédération Catholique de Huy-Waremme est composée de:
- LIMAGE Georges de Wanze, président. Il est sénateur.
- NIHOUL Joseph de Cras-Avernas, rapporteur. Bourgmestre de Cras-Avernas et ingénieur. Il est chargé de la situation agricole et des mesures qu’elle requiert.
- Le Professeur DE VLEESCHAUWER, de Louvain, rapporteur. Il est chargé de la fiscalité communale, des taxes, salaires, allocations et pensions.
- Maître DISCRY, rapporteur. Avocat à Liège. Il est chargé de la fiscalité agricole.
- MARCHANT Auguste, secrétaire. Il est fermier à Warnant-Dreye.
Des sucreries se regroupent (Waremme)
En 1875, la « grande crise » impose des mesures de concentration et de rationalisation des sucreries, dans la région de Waremme.
Embouteillages à Waremme
Le 1er octobre 1867, pour remédier aux embouteillages dans la commune, causés par l’afflux de tombereaux de betteraves vers les deux sucreries, le Conseil Communal de Waremme prend les mesures suivantes:
- Les chars venant de Waremme doivent monter la rue de la Station du côté gauche et descendre par la rue Sous-le-Château.
- Le stationnement est interdit rue de la Station, à hauteur des raccordements ferrés vers les deux fabriques.
- Aucune voiture ne peut emprunter la rue Sous-le-Château, à partir de la maison « DERUISSEAU ».
- Les chars venant de Longchamps doivent contourner la gare par l’empierrement qui aboutit près de la maison « BERTRAND ». Les autres transports doivent continuer par la rue Sous-le-Château, sans s’arrêter.
En cas d’infraction à ces mesures, une amende de 5 à 10 francs sera appliquée.
Mesures en faveur du monde agricole (Belgique)
En juillet 1938, le gouvernement belge prend une série de mesures importantes pour le monde agricole:
- augmentation du budget du département;
- création de l’Institut du Crédit Agricole;
- création d’un Office Nationale du lait et de ses dérivés;
- renforcement de la lutte contre la tuberculose bovine;
- encouragement à la consommation de lait en poudre dans les chocolateries;
- …
Premières mesures de Guillaume Joachim (Waremme)
En septembre 1914, dès son entrée en fonction, le bourgmestre « ad interim » de Waremme, JOACHIM Guillaume, fera adopter par le conseil communal, une série de mesures destinées à assister ses administrés, notamment:
- affectation, pour un salaire de 2 francs par journée de 8 heures, de 200 ouvriers sans ressources, aux travaux de réfection des chemins;
- vote d’emprunts, à la Société du Crédit Communal, des sommes nécessaires au paiement des employés communaux et à la rémunération des femmes de soldats;
- octroi de subsides au Bureau de Bienfaisance;
- octroi de secours aux chômeurs involontaires;
- instauration du Comité de Secours et d’Alimentation.
Des chambres au-dessus des écuries du château (Longchamps – Waremme)
Le 19 décembre 1879, le maçon de Waremme LISMONDE Lambert prend des mesures pour construire des chambres au-dessus des écuries du château de Longchamps.
L’élection du Conseil communal de Waremme est modifiée
Le 31 juillet 1620, une ordonnance du Prince-Evêque DE BAVIERE Ferdinand réforme complètement la composition et surtout l’élection du Conseil communal de Waremme.
Dorénavant, l’élection du Conseil communal de Waremme se déroule comme suit :
Le jour de la Saint-André, après la première messe, la cloche appelle les membres des dix Métiers organisés, qui se rassemblent devant l’Hôtel de Ville : les boulangers, les brasseurs, les mangons (bouchers), les merciers, les viniers (marchands de vin), les parmentiers (tailleurs), les cordonniers, les charpentiers, les fèves (forgerons) et les maçons.
Chaque Métier désigne son candidat. Cinq de ces jurés sont choisis par tirage au sort. Les élus cooptent deux derniers représentants, un du hameau de Longchamps et un dernier du hameau de Bettincourt. Le conseil ainsi formé désigne ensuite deux bourgmestres. (Jusque-là, il n’y avait qu’un seul bourgmestre élu). Un de ces deux bourgmestres doit obligatoirement être domicilié à Longchamps ou à Bettincourt. Les Jurés ont, entre autres charges, la responsabilité de la surveillance du marché, la fixation du prix du pain et la vérification des poids et mesures.
Texte de l’ordonnance
» Ferdinand, par la grâce de Dieu esleu et confirmé archevesque de Cologne, du saint-empire romain, par l’Italie, archichancelier et prince électeur, évesque de Liège, Hildesheim et Munster, coadjuteur de Paterborn (?) et Bergtesgade, administrateur de Stavelot, comte palatin du Rhin, duc des deux Bavières, Wesphale, Engeren et Bouillon, marquis de Franchimont, comte de Looz, Logne, Horne, etc …, à tous ceux qui ces présentes verront ou lire orront, salut.
Comme, sur les difficultés et malentendus survenus en nostre ville de Waremme, tant pour le fait de la police que règlement et administration des communes d’icelle, nous eussions député quelqu’un de nostre conseil pour s’informer et les apaiser, si faire se pourroit; après avoir ouï son rapport et meure (?) délibération, avons, de l’avis de vénérables nos très chers et féaux les chanceliers et gens de nostredit conseil privé, pour le bien et le repos de ladite ville, aussi pour obvier aux semblables difficultés qui pourroient ci-après sourdre, jugé expédient concevoir, ordonner et statuer les points et articles suivants, savoir:
Que d’ici en avant, se fera en nostredite ville, élection de deux bourguemaistres, jurés et conseil, avec autorité et pouvoir de régir, gouverner et administrer en bon père de famille, les biens, revenus et deniers publics d’icelle.
Le conseil s’eslira d’an en an par l’assemblée des dix métiers, qui sera le jour du saint Andrieu, après la première messe, où chascun mestier eslira un homme d’entre eux. Les dix choisis se retireront à part; auxquels quelqu’un de la justice présentera dix billets qu’il pliera, en leur présence, de forme égale; cinq desquels demeureront blancs et cinq signés: jurés; et tirera chascun desdits dix son billet au sort; ceux qui tomberont aux cinq billets marqués, seront jurés et du conseil. Les cinq jurés choisiront d’accord commun ou à pluralité des voix, deux personnes, l’une de Longchamps et l’autre de Bettincourt, qui seront aussi jurés et du conseil pour ledit an.
Lesquels sept choisiront deux bourgmaitres, après avoir presté le deu serment, présens l’officier ou mayeur et deux eschevins, l’un du moins habitant en la ville, l’autre de Bettincourt ou Longchamps, hommes capables, de bonne fâme et réputation, et de la religion catholique, apostolique et romaine.
Comme semblablement les bourguemaistres feront le serment de nous estre fidèles et obéissans et à nos successeurs, de garder et maintenir léalement et à leur debvoir les biens, profits, émolumens, droits et privilèges de ladite ville et communauté. Ce fait, seront conduits à l’église, s’ils sont présens, avec les électeurs jurés, puis publiés après la grand-messe.
Les dits bourguemaistres rendront bon compte et reliqua de leur administration, quinze jours avant l’expiration d’icelle, ce qui se debvra publier quinze jours auparavant, présens nostre officier, deux eschevins, jurés et tels qui de la communauté y voudront estre, les huis à cet effet ouverts, et sera licite à un chascun d’y dire et contredire lors et quarante jours après, voire avec raison et fondement, sans calomnie; lesquels expirés, demeureront les rendans absous et deschargés à l’endroit de ladite communauté.
Lesquels bourguemaistres, jurés et conseil seront loisibles et permis d’exposer et renouveler à bail et à plus offrant les parties communes accoutumées estre rendues, voire à six ans et plus, et pour la première despouille, tant seulement, auxquels terme et despouille seront restraintes et limitées les redditions autrement et au précédent faites, sauf que les fermiers pour telle restriction auront rabat du tierce de leur bail.
Et si pour cause ils entendoient rendre lesdites parties à plus long terme, ou autres parties nouvelles hors les dites communes, debvront ce faire du consentement de la généralité ou meilleure partie de la ville et avec nostre préalable octroi; et afin que lesdits bourguemaistres et conseil aient moyen de pourvoir et fournir aux charges, réparations et autres nécessités inévitables de ladite ville, s’il n’y a deniers publics à y fournir, contribueront promptement par taille et accise, sur les bonniers arables, jardins et pré à double, les communes et broucqs à quatre double du pied ordinaire, lequel quatre double sera trouvé sur le bestial pasturant lesdites communes.
Et comme nostredit commis ai disposé que certaines redditions des communes faites au mayeur de Longchamps et Bourguemaistre Boix (Jean Boux ?) seroient cassées, abolies et remises en commun, avons son besoing en ce jour agréable, veuillant qu’il sorte son effet.
Tous lesquels points et articles voulons et nous plaist qu’ils soient dorsenavant gardés et observés sans y contrevenir, à peine d’encourir nostre indignation.
Si mandons et commandons à nos chers et féaux les mayeurs et eschevins de nostredite ville et tous autres qu’il appartiendra, que ces présentes ils fassent lire, publier et enregistrer, garder et observer de point en point selon leur teneur, cessant et faisant cesser tous troubles ou contraire; réservant à nous et nos successeurs d’y adjouster, diminuer, modérer et interpréter, ainsi que trouveront appartenir; car telle est nostre sérieuse volonté.
Donné en nostre cité de Liège, soubs nostre scel secret.
Ce dernier de juillet 1620