En mars 1924, HERCK Joseph exploite un commerce de poêles, de meubles et d’articles ménagers, aux n° 3 et 41 de la rue du Pont à Waremme.
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Vente de meubles (Oreye)
Le 6 février 1912, Madame CHARLIER, veuve LEGROS, met tous les objets mobiliers garnissant sa demeure en vente publique, organisée par le notaire d’Oreye, MAHY Armand.
Les Meubles Verbert (Waremme)
En 1954, le magasin de meubles « VERBERT » est installé au n° 9 de l’avenue Reine Astrid, à Waremme.
Il vend:
- des meubles de style
- des tentures, tapis et dentelles
- des couvres-parquet
- des matelas à ressorts
Il est également dépôt de la teinturerie « Tip-Top ».
Les Meubles Feron (Waremme)
En 1954, le magasin de meubles « FERON » est installé au n° 20 de la rue Joseph Wauters, à Waremme.
Le magasin de meubles Latour (Waremme)
En 1954, le magasin de meubles « LATOUR » est installé au n° 3 de l’avenue Emile Vandervelde, à Waremme. Il est également spécialisé dans les portes et fenêtres.
Les meubles Piron – Struyven (Waremme)
En 1954, le magasin de meubles « PIRON-STRUYVEN » est installé au n° 24 de la rue Saint-Eloi, à Waremme.
Il vend:
- des chambres à coucher
- des salles à manger
- des cuisines
- des salons
- des sommiers
- des matelas
- des articles cadeaux
- …
La Salle de Vente Waremmienne
En 1954, la « Salle de Vente Waremmienne » est installée au n° 1 B de l’avenue Guillaume Joachim, à Waremme.
Elle propose des meubles neufs et d’occasion, de style et moderne:
- salles à manger
- chambres à coucher
- cuisines
- salons anciens et modernes
Elle reprend de l’ancien mobilier.
Les meubles « Herck » (Waremme)
En 1930, le magasin de meubles « Maison Herck » est installé au n° 16 de la rue de la Station (qui deviendra plus tard avenue Reine Astrid) à Waremme.
« La Ferme de Hesbaye » (Corswarem – Berloz)
En mars 2016 et juin 2019, le commerce « La Ferme de Hesbaye », spécialisé en meubles pour intérieur et extérieur, décoration et articles cadeaux, est installé au n° 16 rue de l’église à Corswarem (Berloz).
La maison de Roland Streignaerts (Waremme – Allemagne)
Le (?) 1940, lorsqu’il rentre dans sa maison de la rue de Mouhin, à Waremme, après s’être échappé d’une colonne de prisonniers près de Saint-Trond, STREIGNAERTS Roland constate que les portes de sa maison ont été fracturées et les fenêtres brisées. Les armoires sont grandes ouvertes, les tiroirs sortis des meubles. L’argenterie, les ustensiles de ménage, le linge, les outils, le contenu de sa cave à vins, … tout a disparu. Il estime son préjudice à plus de 20.000 francs.
Un voisin lui dira que les Allemands ont passé quelques nuits dans la maison et que des réfugiés s’y sont reposés.