Les professions exercées à Waremme

En 1856, les professions exercées à Waremme sont les suivantes :

  • 1 agent d’assurances
  • 1 inspecteur cantonal d’enseignement primaire
  • 1 agent des domaines
  • 1 instituteur
  • 1 arpenteur juré
  • 1 jardinier
  • 1 berger
  • 64 journaliers
  • 1 blatier
  • 1 juge de paix
  • 2 bouchers
  • 11 maçons
  • 2 boulangers
  • 3 marchands
  • 1 bourrelier
  • 1 marchand de grains
  • 2 brasseurs
  • 4 maréchaux-ferrants
  • 3 cabaretiers
  • 5 médecins
  • 5 charpentiers
  • 16 menuisiers
  • 1 charron
  • 3 meuniers
  • 1 chef de gare
  • 16 négociants
  • 1 cirier
  • 3 notaires
  • 1 clerc de notaire
  • 1 orfèvre
  • 1 commissaire de district
  • 4 ouvriers SNCB
  • 1 Cordonnier
  • 1 peintre
  • 1 cuisinière
  • 3 pharmaciens
  • 26 cultivateurs
  • 1 receveur
  • 6 cultivateurs
  • 2 serruriers
  • 1 employé SNCB
  • 2 tanneurs
  • 1 gendarme
  • 1 tonnelier
  • 1 greffier de paix
  • 1 vétérinaire
  • 1 huissier
  • 1 vitrier
  • 1 ingénieur civil

Professions exercées par les hommes à Waremme

En 1763, les professions exercées par les hommes sont les suivantes :

  • 1 apothicaire
  • 1 huissier
  • 1 barbier
  • 1 jardinier
  • 7 bergers
  • 57 journaliers
  • 15 boutiquiers
  • 2 maréchaux-ferrants
  • 3 brasseurs
  • 1 médecin
  • 4 cabaretiers
  • 16 menuisiers
  • 8 Charretiers
  • 2 meuniers
  • 3 charrons
  • 2 porchers
  • 1 chirurgien
  • 2 selliers
  • 1 cordonnier
  • 6 tailleurs
  • 1 couvreur de toits
  • 19 tisserands
  • 12 cultivateurs
  • 3 tonneliers
  • 6 domestiques
  • 1 tourneur en bois
  • 8 domestiques de ferme
  • 2 vitriers
  • 1 faiseur de corde

En 1763, les journaliers et journalières waremmiens sont 143. Ils représentent 41,5% des travailleurs. Lorsqu’on parle de journalier, on entend traditionnellement l’ouvrier agricole à qui on confie les petits emplois les moins bien payés. Mais à Waremme, il n’y a que 12 cultivateurs recensés, qui ne peuvent employer une telle quantité de main d’œuvre. En fait, le journalier est un ouvrier payé à la journée dans n’importe quel domaine, sans attache avec un employeur particulier. Souvent sans qualification, il est d’une grande mobilité professionnelle. La plus grande partie des journaliers travaillent à domicile, chez un autre journalier disposant d’un plus grand local ou même dans une sorte d’atelier public, mis à sa disposition par un fabricant. Les journaliers louent leurs services au gré des demandes et des saisons. Ces journaliers « travailleurs à domicile » n’exécutent que la fonction technique, la fonction économique reste l’apanage du marchand dont ils dépendent pour obtenir les matières premières et les commandes. Ils sont donc économiquement subordonnés à ce marchand.

L’éducation physique à l’école (Waremme)

En octobre 1935, une circulaire du Ministre de l’enseignement BOVESSE prévoit trois leçons d’éducation physique par semaine dans les écoles du royaume. A l’Ecole Moyenne de l’Etat de Waremme (qui deviendra l’Athénée Royal), Monsieur HENDRIX et Mademoiselle MEUNIER sont désignés pour dispenser ces cours.

Prix demandé au moulin (Waremme)

En 1930, un meunier demande 9 francs par 100 kilos de grain moulu et 7 francs par 100 kilos d’avoine, de maïs ou d’orge.

Prix pour moudre le grain (Waremme)

Avant 1914, un meunier de Waremme demande 1,50 francs pour 100 kilos de grain moulu et 1 francs pour 100 kilos d’avoine, de maïs ou d’orge.

Le bureau des Postes (Waremme)

En 1843, le bureau de perception des postes à Waremme est ouvert sans interruption de 8 heures du matin à 7 heures 50 du soir. Le percepteur est MEUNIER J.J.. BRONCKAERT J.F. est le facteur qui remet les lettres dans la ville. Les facteurs ruraux, chargés de la remise des lettres dans les communes du canton sont:

  • RECUM T.,
  • OGER B.,
  • RENIER J.L.
  • DELPORTE.

Monsieur Meunier, Receveur des Chemins de Fer (Waremme)

EN 1840, MEUNIER J. est receveur des chemins de fer à Waremme.

Le facteur Meunier (Waremme)

En 1836, le facteur de Waremme est Monsieur MEUNIER.

Le service des Postes (Waremme – Liège)

En 1834, le service des courriers de l’Administration des Postes quitte Liège à 6h30 du matin pour arriver à Waremme à 10h du matin. Il est de retour à Liège à 6h du soir.

MEUNIER est distributeur des lettres de l’Administration de Postes à Waremme.

Philippe Lejeune est admis dans la Confrérie des Archers (Waremme)

A la Pentecôte 1811, LEJEUNE Philippe, fils du meunier, est admis à la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme.