Conflit entre Henri le Guerroyeur et Louis de Looz (Saint-Trond – Waremme – Liège)

En 1203, une dissension violente éclate entre de Duc DE LOUVAIN Henri, dit « Le Guerroyeur », et le Comte DE LOOZ Louis, au sujet de l’avouerie de Saint-Trond.

Le Duc commence à ravager les moissons. Le Comte fait appel à l’assistance du Prince-Evêque de Liège, son suzerain. Ce dernier lève des milices et constitue une grande armée commandée par DE SAINT-JACQUES Renier. Il mande au Comte de venir le rejoindre à Waremme avec ses troupes. Les 2 armées se rencontrent au jour fixé et campent à Waremme 8 jours entiers.

L’intervention du Comte de Namur parviendra à réconcilier les belligérants.

La bataille de Vottem

En juillet 1346, les milices révoltées contre le Prince-Evêque de Liège, DE LA MARCK Englebert, remportent la victoire à la bataille de Vottem.

Englebert de la Marck fait appel à Charles de Luxembourg

En 1346, des milices sont en continuelles révoltes contre le Prince-Evêque de Liège, DE LA MARCK Englebert, successeur de DE LA MARCK Adolphe. Il doit faire appel à DE LUXEMBOURG Charles.

Révolte de Pierre Andicas (Hesbaye – Liège – Nierbonne)

Vers 1326, un membre du Lignage des Awans, ANDICAS Pierre, jaloux de l’élection du châtelain de Waremme, DE JENEFFE Guillaume, comme bourgmestre de Liège, se révolte. Ses milices livreront bataille aux troupes de DE JENEFFE Guillaume, au Thier de Nierbonne, près de Huy.

DE JENEFFE Guillaume y perdra ses deux fils, DE JENEFFE Guillaume (comme son père) et DE JENEFFE Bauduin. Son chagrin lui sera fatal.

Guillaume de Jeneffe rassembleur des Awans

En 1325 (?), le châtelain de Waremme, DE DAMMARTIN DE JEHAING DE JENEFFE Guillaume, est élu capitaine en chef du Parti des Awans, ce qui entraîne le ralliement de nombreux autres chevaliers, hommes d’armes et milices, dans les garnisons des places fortes de la région, favorables à ce Parti.

Les Etats de Liège viennent à la rescousse de Waremme

En 1605, devant une nouvelle menace espagnole, les Etats de Liège reprennent les armes et groupent de fortes milices sur les rives du Geer, frontière naturelle de la Hesbaye, plus facilement défendable. Cette présence de combattants, bien décidés à faire payer durement les injustices commises, incite le Comte SALAZAR, commandant des troupes ibériques, à s’écarter de nos régions.